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27 janvier 2013

Et s'il ne restait que l'insurrection pour protéger nos enfants ?

Contre le mariage gay marchons sur l'Elysée   par Denis Cheyrouze

france,société,famille,enfants,homos,résistanceCe n’est pas une guerre de chiffres, mais une guerre tout court, à laquelle deux France se livrent. Entre les manifestants du 13 janvier – la manif’ pour tous – et ceux du 27, il y a plus qu’un désaccord, il y a une marche de plus dans une lutte à mort commencée il y a bien longtemps.

11 septembre On connaît précisément la date de la coupure de la France en deux. C’est le 11 septembre… 1789. Ce jour-là, les députés doivent voter pour ou contre le droit de veto accordé à Louis XVI. Spontanément, ceux qui étaient contre se sont placés à gauche du président de séance, et ceux qui étaient pour, à droite. Ce qui divise la France aujourd’hui sur la dénaturation du mariage est philosophiquement une réplique exacte de cette fracture-là.

Deux France, face à face D’un côté, la France qui considère que les lois procèdent d’un ordre naturel – ou divin – que la société est bonne lorsque l’ordre n’est pas fondé sur un empilage de désirs ou de caprices personnels mais sur un Bien commun hérité d’une vérité non relative. C’est ce qu’on appelle la Droite.

De l’autre, une masse qui dit que le Bien évolue avec le temps, selon les besoins de mes désirs, de mes envies, et que rien n’est supérieur aux choix des Hommes, qu’ils n’ont à répondre de leurs choix et de leurs lois qu’à l’Histoire, qu’à l’humanité. C’est ce qu’on appelle la Gauche.

Peu importe ensuite les étiquettes de partis : il est nombre d’hommes politiques « de droite » qui philosophent à gauche. L’inverse est moins courant. Aujourd’hui, devant l’absolutisme de François Hollande et l’ivresse des députés socialistes enflés de leur pouvoir de façonner les lois contre les réalités, le peuple fidèle est dans l’obligation morale d’agir.

Peu importe les chiffres, peu importe que nous soyons une majorité ou non, les règles de la démocratie n’ont aucune importance dans cette guerre-ci. Nous n’avons d’autre choix que de vaincre. Les actions à mettre en place ne peuvent plus se limiter à faire se promener au Champs de Mars des familles en Cyrillus ! C’est Paris qu’il faut bloquer. C’est le périphérique qu’il faut envahir. C’est sur l’Assemblée et l’Elysée qu’il faut marcher.

Ayons toujours à l’esprit la phrase terrible du candidat François Hollande dans un débat qui l'opposa à Emmanuel Todd: F.H. « – Je suis désolé, mais je crois qu’on a aussi une mission internationaliste, on n’est pas là, simplement, pour être des protecteurs de nos propres… E.T. - Citoyens ! »

Le président de la république qui est en France s’apprête à violer le droit des enfants à avoir un père et une mère. Pour la défense des plus faibles, pour le futur des enfants de France, il est de notre devoir d’agir, et ça ne peut plus se faire dans la dentelle. Etes-vous prêts ?                    source

26 janvier 2013

Kosovo : les musulmans s'en prennent aux cimetières serbes !


europe,serbie,kosovo,islamisation,identité,résistanceDepuis quinze jours maintenant, les cimetières chrétiens du Kosovo-Metochie font l'objet de profanations systématiques et de destructions parfois même à l'explosif; un lâche déchaînement de haine anti-chrétienne qui s'en prend aux défunts des communautés serbes orthodoxes qui s'obstinent à ne pas vouloir abandonner aux albanais musulmans la terre de leurs ancêtres. Monseigneur Théodose, l'évêque de cette malheureuse province serbe arrachée à la mère patrie pour complaire aux mondialistes de l'Union Européenne, vient de déclarer que les serbes du Kosovo vivent les instants les plus douloureux depuis les pogroms anti-chrétiens de 2004.

L'impunité totale dont jouissent les auteurs de ces profanations est révélatrice de la complicité des autorités albano-musulmanes et de la fort étrange passivité des eurocrates dont il n'est pas exclu qu'ils se réjouissent même de ces actions visant - au travers des tombes de leurs aïeux- à couper définitivement les serbes de leurs racines. La guerre faite aux morts est une des facettes de l'ethnocide programmé qui vise à l'anéantissement de l'identité serbe au Kosovo par les mahométans albanais.

Et cela se passe en Europe, pas très loin de nos frontières-passoires, ce qui nous fera affirmer une fois de plus que c'est chez nous, que c'est en Europe que l'islamisme doit d'abord être combattu, pas dans les palmeraies du Mali !

25 janvier 2013

Non à l'Impérialisme : Paris 02 février 2013 !

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24 janvier 2013

Homofolie so british !

europe,angleterre,royauté,homos,lobby homo,homofolieLe Parlement britannique devrait prochainement adopter une loi permettant au premier enfant du prince William de devenir monarque indépendamment du fait qu’il soit garçon ou fille (actuellement, le premier enfant mâle du souverain est appelé à régner, les filles sont admises dans l’ordre de succession si aucun enfant du souverain n’est un garçon).

Toutefois, Paul Flynn, parlementaire travailliste proche du lobby gay souhaite, également introduire un amendement qui permettrait à un roi homosexuel ou une reine lesbienne et pour leur partenaire de même sexe d’être reconnu officiellement comme conjoints. Ces derniers auraient le titre de prince ou princesse consort. Le parlementaire militant voudrait également que les enfants de ce « couple », nés grâce à l’insémination artificielle ou la PMA, puissent succéder au monarque sur le trône si le « couple » est marié ou a conclu un partenariat civil. Cet amendement n’a pas beaucoup de chance d’être adopté.
 

23 janvier 2013

L'Etat-Major français aux ordres de la médiacratie !

Après l'excellent article de Bernard Lugan au sujet de " l'affaire du foulard à tête de mort " montée en épingle par la médiacratie et publiée notamment sur le site de Thomas Joly ( voir ici ) on appréciera la réaction du journaliste Edouard Frémy sous le titre : L'Etat-Major français à plat ventre devant la presse

000_par7447232-565x252.jpeg"Beaucoup de bruit pour rien, comme d’habitude. Mais quand même ce vieux parfum antimilitariste qui, passé les premières griseries des premières odeurs de poudre, renaît dans la presse française. On s’y réveille avec la gueule de bois honteuse d’avoir été enthousiaste de voir nos soldats lâcher les chevaux sur le sol africain. Brièvement, inconsciemment sans doute, les rédactions se sont abandonnées à l’étreinte que la France est une grande Nation, elles ont découché quelques heures du logis bien-pensant, et maintenant elles regrettent d’avoir trompé. Alors, tout prétexte est bon pour se racheter en pilonnant l’armée, l’un des dernières incarnations de la patrie et donc, à ce titre, forcément coupable.

Il faut dire que la photo est très réussie, elle fait son job : illustrer la guerre. La guerre, c’est la mort, et la mort est en majesté, sereine comme la certitude qu’elle va faucher, auréolée d’une lumière poussiéreuse, attendant de remonter sur son char pour aller chasser du terroriste puisque c’est le destin que leur a donné le chef des armées, « les détruire ». Alors, que la presse enthousiaste aux nouveaux habits de guerre du président Hollande soit solidaire, elle aussi, de l’armée, au lieu de se faire l’écho de l’écho et par conséquent de sonner creux. Cette photo a circulé sur les petits écrans, la presse en a fait une polémique sur les grands écrans.france,mali,armée,médias,désinformation,médiacratie

Il aurait tout simplement suffi de demander à l’auteur de cette photo, Issouf Sanogo(AFP), pour savoir qu’un « hélicoptère était en train d’atterrir et soulevait d’énormes nuages de poussière. Instinctivement, tous les soldats à proximité ont mis leurs foulards devant leurs visages pour éviter d’avaler du sable. (…) Le soldat ne posait pas. Il n’y a aucune mise en scène dans cette image. Le gars ne faisait que se tenir là en se protégeant le visage de la poussière. »

Voilà, c’est tout : un foulard de circonstance. Mais tous les panurges y ont vu un masque permanent pour monter à l’assaut, à l’effigie d’un jeu vidéo violent (et alors ?). En fouillant, on découvre que c’est surtout un foulard pour motard, ce légionnaire est peut-être un biker. Ce foulard est peut-être un cadeau d’un proche, un gri-gri trompe-la-mort, une lacune de l’intendance qui n’a pas fourni de foulard. Ou une tolérance de l’officier qui se fout du qu’en-twittera-t-on : il fait la guerre, pas des relations publiques. Pour se mettre à plat ventre devant la presse, il y a l’état-major français, c’est d’ailleurs ce qu’il a fait. "      source