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16 février 2014

Serge Ayoub pourfend Haziza en beauté!

 

Et pan sur le pif! On se délectera de cette vidéo où notre camarade et ami Serge Ayoub règle son compte en beauté au minable pseudo journaliste subventionné mais vrai indic de police politique et militant sioniste sectaire Frédéric Haziza auteur d'un étron littéraire particulièrement vomitif. Rien à dire de plus sur le personnage, insignifiante marionnette des fortunes anonymes et vagabondes du B'nai'B'rith, Groupe Bilderberg et autre Trilatérale qui sert maintenant de rabatteur à la milice valssienne et aux valets de l'a-justice gouvernementale. A faire circuler !

14 février 2014

Dresde : hommage aux 135000 victimes des bombardements anglo-américains! !

Dresde 13-14 février 1945 : la guerre des lâches !

362212dresde5tp6rq.gifFévrier 1945 : Dresde est une ville ouverte, une ville désarmée où les 25 hôpitaux et les dizaines de centres d'accueil hébergent, nourrissent, réconfortent et soignent tant bien que mal des dizaines de milliers de réfugiés, de mutilés et de blessés fuyant les "libérateurs" staliniens.

A cette date, la partie est perdue pour l'Allemagne, tous les fronts sont enfoncés et les 42 divisions soit-disant massées aux alentours de la ville de Dresde pour une contre-attaque vers l'Est n'existent que sur le papier. Dresde n'est plus un objectif militaire et les civils qui s'y entassent peuvent se sentir quelque peu "rassurés"d'être loin des combats. C'était sans compter avec la décision des politiques anglo-américains de faire amplifier par leurs états-majors la stratégie de la terreur sur les civils censée démoraliser l'Allemagne : surpeuplée de civils Dresde était une cible de choix, comme le furent Berlin ou Hambourg, et comme le seront Tokyo, Hiroshima et Nagazaki.

La nuit du 13 au 14 février : pour un temps "oublier" la guerre, se raccrocher à tout ce qui est la vie comme ces petits carnavals improvisés qui s'animent çà et là et puis viennent quinze heures d'apocalypse, 650000 bombes incendiaires et engins à fragmentation, les civils écrasés, déchiquetés, brûlés au phosphore; 1000° au sol, des corps amalgamés au béton et à l'acier, des petits enfants englués vivants dans l'asphalte en fusion; la folle terreur, l'indicible douleur, la mort dans l'épouvante. Combien de morts ? 35000 pour l'Histoire officielle, probablement au moins 135000. Des monceaux de cadavres aux chairs brûlés comme offerts en Holocauste à quelque hideuse divinité. Le "Bomber Command" du général-boucher Arthur Harris va pouvoir jubiler, comme prévu la ville était sans défense et tous les avions sont rentrés. Sortis des carlingues décorées à la pin-up, sourire et bulle de chewing-gum aux lèvres, les "héros" tout juste un peu fatigués vont pouvoir fêter çà et imaginer ce qu'ils diront plus tard à leurs enfants qui leur demanderont peut-être: raconte moi ta guerre papa.

Ignominie qui n'est pas la guerre sinon celle des lâches, monstruosité susurrée à Yalta dans l'oreille d'un sénile qui faisait sous lui par un alcoolique chronique en perpétuel état second sous le regard ironique du plus grand criminel politique de l'Histoire et pour laquelle aucun responsable ni exécutant ne sera jamais inquiété. Ce crime de guerre au parfum de génocide n'est pas près d'être officiellement considéré comme tel. Il est vrai qu'il a été commis - comme tant d'autres le seront encore - au nom du Bien par des démocraties humanistes. Tant que l'Histoire ne sera pas remise à l'endroit, le martyre de Dresde restera une péripétie et les martyrs de Dresde n'en seront jamais que des détails !

12 février 2014

Il n'y a rien à attendre d'une police politique!

france,liberté,répression,police,justice,résistance

11 février 2014

Suisse : la voix du peuple !

europe,suisse,immigration,identité,terre&peuple,synthèse nationalepar Pierre Vial Président de Terre&Peuple

 

Les media pourris (pardon pour le pléonasme !) s’étouffent d’indignation. Le peuple suisse a osé. Il a osé braver le tabou, défier les dogmes, cracher sur les idoles. Scandale. Il a voté et « mal » voté : malgré l’interdit lancé par le pays légal (autorités politiques, religieuses, économiques, culturelles…) et les inquisiteurs bruxellois (le maffieux Jose Manuel Barroso, président de la Commission européenne et la harpie Viviane Reding, commissaire à la justice et aux droits fondamentaux (sic) ) le pays réel a refusé, par référendum, l’immigration massive (même si les Suisses, ces veinards, ont une immigration plus européenne qu’africaine) en approuvant le texte proposé par l’UDC imposant, sans ambiguïté et sans complexe, « la préférence nationale ».

Furibard, le président du groupe socialiste au Parlement européen, le social-démocrate Hannes Swoboda, a réaffirmé rageusement son credo mondialiste : « L’immigration n’est pas une menace mais un atout appréciable pour le développement économique et social de tout Etat moderne ». Pour punir ce pantin il faudrait le condamner à séjourner pendant un mois dans le 93…
Voici donc que monte une affirmation populiste, que le politologue suisse Pascal Sciarini, professeur à l’université de Genève, qualifie d’ « identitaire ». Quelle horreur… Et il annonce l’apocalypse : « Si on procédait au même vote dans d’autres pays, on risquerait d’avoir le même résultat ».
La voilà, la bonne idée. Alors, Hollande, on fait en France un référendum sur l’immigration ? Pas cap, comme on dit dans la cour de l’école. D’autant qu’on voit arriver des hirondelles qui font le printemps : un sondage publié par Le Monde indique que 67 % des Français trouvent qu’il y a trop d’immigrés, 88 % rejettent le monde politique, 75 % ne font plus confiance à l’Etat … et 50 % ne croient plus à la démocratie. Le grand réveil serait-il en route ?
source: Terre&Peuple