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07 septembre 2009

Sarkozy : j' suis bidon !

 L' Empereur Napoléon Ier n' était pas gand et pourtant ce fut un grand homme. Avec ou sans talonnettes, Sarközy lui est petit et, aux regards de l' Histoire, le restera probablement dans toutes les acceptions du terme. Sans doute complexé par sa petite taille, le Conducteur va finir par devenir - si ce n' est déjà fait - la risée du monde entier en cherchant à apparaître artificellement plus grand qu' il n' est. Si l' on en croit un reportage de la télévision belge, même les figurants à ses visites présidentielles se doivent désormais de ne pas le dépasser même d' un quart de tête. Dérive obsessionnelle du Guide ou initiative de courtisans ? Ridicule en tous les cas ! 

http://www.dailymotion.com/video/xae507_sarkozy-le-bidonn...

12 août 2008

Shanghaï sur Seine

paquebot-fn.jpg

Médaille d' or pour la Chine à Saint-Cloud : il semble bien que se soit finalement une Université de Shanghaï qui ait fait la meilleure offre pour le rachat du " Paquebot ", l' emblèmatique siège du Front National. Un promesse de vente notariée aurait été signée, engageant l' acquéreur pour une somme qui pourrait osciller entre 12 et 15 millions€.

21 juillet 2008

Humeur !

léger.jpgAdmirable consensus médiatique à propos de Lucien Léger, ci-devant étrangleur, mort solitaire à Laon, qui nous a valu des salmanazar de formules dégoulinantes : ancien plus vieux détenu de France, quarante et un ans derrière les barreaux, la moitié de sa vie en prison, une peine de mort lente, un petit homme au regard intense, trois ans de liberté seulement, le symbole du combat contre les longues peines... C' est tout juste si l' on évoque le crime de l' ignoble qui a un jour enlevé, brutalisé et tué un jeune garçon de onze ans; de l' épouvante et des souffrances endurées par l' enfant, rien, de l' angoisse et du désespoir des parents, rien non plus, pire encore, on croit bon de stigmatiser à mots couverts le désir de vengeance du père du petit martyr...pensez-donc, les menaces proférées empêcheront le brave assassin de pouvoir assister aux obsèques de sa femme ! 

C' est une fois de plus le monde à l' envers où le bourreau devient victime. D' ailleurs on n' hésite pas à laisser entendre que c'est à fort juste titre que Léger avait eu le front d' ester contre la France devant la Cour Européenne des Droits de l' Homme pour " détention arbitraire " et " torture et peines ou traitements inhumains et dégradants ". Et puis, quel admirable pélerin sur la voie de la rédemption que monsieur Lucien, féru de philosophie, accueilli à Landas dans le Douaisis par les gentils et si exemplaires Bernhard, employé par la Croix Rouge de Douai, pérorant sur FR3 Lille*, reçu par Marc-Olivier "faux derche", peut-être pas bourrelé de remords mais toujours bon pied bon oeil à 71 ans...le petit Luc, qui a eu le malheur de croiser sa route, n' aura vécu lui que onze années avant de subir une mort cruelle !

Alors, se réjouir du trépas sordide du nuisible, même pas; mais regretter qu 'on ne lui ait pas tranché la tête il y a quarante ans, assurément oui. Tirons la chasse !  

Yves Darchicourt 

* dans la même catégorie, notre note du 05 10 06 " FR3 Lille...la nausée "    photo:AFP avril 2008

28 mai 2008

Assises des Ardennes : une grande absente !

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27 mai 2008

Lâché !

1938325993.jpg Il est un article 174 du décret organique du 20 mai 1903 repris en intégralité dans l' article L du Code de la Défense qui précise les conditions dans lesquelles les gendarmes sont autorisés à faire usage de leurs armes :

" lorsqu'ils ne peuvent défendre autrement le terrain qu'ils occupent, les postes ou les personnes qui leurs sont confiés ou enfin si la résistance est telle qu'elle ne puisse être vaincue que par la force des armes ou lorsque les personnes invitées à s' arrêter par des appels répétés de "halte gendarmerie" faits à haute voix cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations et ne peuvent être contraints à s' arrêter que par l' usage des armes "  ( art. 2 333-3 ) 

Il est idem un article 280 qui ajoute " dans le cas où il y a rebellion de la part de prisonniers ou tentative d' évasion, le commandant de l' escorte, dont les armes doivent toujours être chargées, leur enjoint de remettre dans l' ordre par ces mots "halte ou je fais feu"; si cette injonction n'est pas écoutée, la force des armes est déployée dans l'instant même pour contenir fuyards ou révoltés "  

Le sous-officier de gendarmerie de Draguignan qui, après sommations et tirs d' intimidation, a abattu un gardé à vue qui s' évadait n' a donc fait qu' appliquer le règlement et agir de façon légitime, d' autant que l' homme, mis en cause dans une affaire de vol avec violences et séquestration, était donc réputé dangereux et se dirigeait vers un secteur où se trouvaient des enfants.

L' affaire est donc claire et nette. Enfin elle devrait l' être, sauf que l' individu mortellement touché appartient à une communauté nomade qui s' est empressée de manifester violemment et de susciter des troubles lesquels ont servi de prétexte pour que le militaire soit mis en examen et incarcéré. Un militaire "ignoré" par son ministre de tutelle, Hervé Morin, et indignement "lâché" par sa ministre de tutelle par anticipation, Michèle Alliot-Marie, promte à jouer l' effarouchée. Un militaire que des politicards et des agitateurs veulent sacrifier sur l' autel du politiquement correct.

Les gendarmes de France, et d' une façon générale tous les membres des forces de l' ordre, sauront s' en souvenir le moment venu.     

 Marie-Paule Darchicourt