Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05 décembre 2013

Procès Burgaud/Tavernier: la petite phrase qui fâche!

france,justice,médias,liberté d'expression,répression,magistratureBouc émissaire pour les uns, incompétent crasse pour d'autres, Patrice Burgaud restera dans les annales comme le juge d'instruction du "ratage" de l'affaire d'Outreau qui lui a valu d'être légèrement "réprimandé" par ses pairs et confortablement recasé comme auditeur à la Cour de Cassation.

Cette navrante péripétie judiciaire vient de revenir à la "une" des médias avec le procès intenté par le dit robin à Bertrand Tavernier à propos de son film "Présumé Coupable" -inspiré de l'auto biographie de l'une des "victime" de Burgaud-  au sujet duquel il avait déclaré télé visuellement " Quand vous voyez le film, je ne suis pas pour la peine de mort, mais c’est quelqu’un que vous avez envie d’exécuter, le juge d’Outreau»

C'est pour cette petite phrase que le cinéaste a été assigné devant la 12e chambre correctionnelle de Paris et non la 17e spécialisée pourtant dans les affaires touchant à la liberté d'expression. Le procureur de service, sans doute ému par les lamentations de Burgaud qui vivoterait depuis dans l'angoisse comme si l'on avait lancé une fatwa ou un contrat sur sa tête, vient dernièrement de requérir la condamnation de Tavernier à 3000€ d'amende.

Il est vrai que les intouchables robins sont de grands sensibles, même si parfois cette sensibilité est inversement proportionnelle à leur compétence ou à leur degré d'impartialité. Et tous les mots sont susceptibles de les "outrager" même s'ils n'atteignent pas la hargne de ceux de ce célèbre bout-rimé "Qu'il serait beau de les voir mourir de mort lente/Et de voir, pour dix sous, dix peaux de juge en vente "...il est vrai envoyé à la veille de son exécution par le "bon docteur" Marcel Petiot qui avait quelque raison d'en vouloir cruellement à ses juges!

 


14 juin 2013

Christiane Taubira : courage fuyons !

france,justice,laxisme,criminalité,magistrature,christiane taubiraAssez étonnamment, France2 avait programmé pour ce soir 22h15 et en direct une confrontation entre Christiane Taubira - ministre de la justice du gouvernement écolo-socialiste - et Xavier Bébin - secrétaire général de l'association "Institut pour la Justice" -particulièrement virulente contre le laxisme judiciaire- dans le cadre du magazine "Ce soir(ou jamais!)" animé par Frédéric Taddeï. Et bien ce sera "jamais" : l'Institut pour la Justice vient de communiquer que Christiane Taubira, non seulement s'est décommandée au dernier moment sans aucune raison mais à de plus fait pression sur France2 pour que son opposant ne soit pas reçu en son absence. Sans surprise, la redevancielle France2 s'est soumise au caprice dictatorial de l'afro-française.

La Taubira, qui n'a d'autres arguments que ses certitudes idéologiques pour sa politique judiciaire si "compréhensive" avec la racaille et les criminels de tous poils, craignait sans doute ceux de son adversaire. De solides arguments - exposés dans son livre "Quand la Justice crée l'insécurité" publié chez Fayard - qui présageaient d'une raclée médiatique d'importance pour l'exotique gardienne des sceaux. Courage fuyons..!    

25 avril 2013

Le Syndicat de la Magistrature est (très) à gauche ! Ah bon ?

france,justice,magistrature,mondialisme,droite nationale,résistanceLe Syndicat de la Magistrature et son "mur des cons" défraient la chronique ! Il y a de quoi s'étonner de l'étonnement de certains qui semblent découvrir ce qui est de notorité publique depuis des lustres, à savoir que ce "syndicat" est une organisation subversive aux mains de l'ultra-gauche mondialiste dans notre pays. Nous avions relevé sur ce blog un petit florilège de citations de responsables de cette cellule activiste ( les juges sectaires: cliquez ici ) dont un des anciens vice-président avait même donné dans l'hystérie anti-flic  ( un juge condamné : cliquez ici )

Les membres du Syndicats de la Magistrature sont avant tout des militants voire des combattants d'une idéologie qui émane en droite ligne des relents mortifères de mai 68. Comment peut-on croire un seul instant qu'ils laissent leurs opinions aux vestiaires des tribunaux où ils siègent ? Comment même simplement envisager que leurs décisions ne sont pas guidées par leurs préoccupations idéologiques ?  Alors que cette officine expose dans ses locaux les portraits des cibles de futurs tableaux de chasse politique n'a rien d'extraordinaire. Encore ne s'agit-il là que d'un "mur des cons" stigmatisant ironiquement des représentants de la droite dite républicaine ou parlementaire ou molle pour lesquels ces robins éprouvent surtout du mépris. Les militants de la droite nationale et identitaire ou plus largement les citoyens égarés hors des sentiers battus du politiquement correct qui ont pu avoir affaire à ces gens là savent bien eux à quel degré de haine peuvent monter ces "magistrats" au masque de Fouquier-Tinville qui peuplent de véritables "tribunaux révolutionnaires" avec leurs listes de proscrits et qui devraient d'emblée faire systématiquement l'objet d'une procédure en suspicion légitime.

Le Syndicat de la Magistrature est un ennemi acharné à saper les bases de notre civilisation et à persécuter le gaulois qui ose être fier de son identité et en tant que tel il est à abattre. Cette vaudevillesque affaire ne suffira qu'à l'écorner un peu. Ce n'est pas si mal après-tout, c'est peut-être là l'occasion de faire un pas vers la nécessaire et implacable épuration qui redonnera tout son sens au mot "Justice"  

23 décembre 2010

Laxisme judiciaire et insécurité : une dramatique conséquence de plus !

16_fusil.jpgC'est donc pour "assassinat" qu'un jeune agriculteur de la Drôme, auteur d'un tir mortel sur le voleur qui s'était introduit dans sa truffière, vient d'être mis en examen et écroué. Si le meurtre avec préméditation est reconnu en Cours d'Assises, le jeune homme encourt la peine la plus grave en matière d'homicide. En l'espèce, on parlera de la nécessité de l'exemplarité, comme on l'a fait à propos de "papy Galinier", et ce assez étrangement d'ailleurs : les mêmes, qui prétendent que la sévérité exemplaire des condamnations est outrancière sur les malfaisants, la réclament pour le citoyen qui ose se défendre ou protèger sa propriété.

Un voleur de truffes est mort, un paysan n'a plus d'avenir, deux familles sont effondrées. Cela ne devrait certes pas arriver et cela n'arriverait pas si la sécurité des biens et des personnes était assurée et si la Justice appliquait les lois sans faillir à sa mission. Or, c'est l'insécurité qui règne en France, pas seulement dans les villes et les "quartiers", mais dans les campagnes aussi où le maillage mis en place par la si efficace Gendarmerie a été pratiquement détruit. Or, c'est le laxisme imbécile ou militant qui gangrène une bonne partie de la Magistrature et ote toute force de dissuasion à la Loi. Voleurs,brutes et assassins disposent de plus en plus d'espaces non-sécurisés où exercer leurs activités et craignent de moins en moins d'être lourdement condamnés, s'ils sont pris. Inadmissible de tuer pour quelques truffes ! C'est sans doute vrai. Mais que dire du désespoir et de la rage d'un paysan qui voit régulièrement le fruit de son labeur ( et quel labeur ! ) volé et quasiment sans risque pour le voleur ! Il sera stigmatisé, crucifié, surtout par ceux qui n'ont jamais travaillé de leurs mains d'ailleurs et qui vivent sur-confortablement d'une rente de politicien, de faiseur d'opinion ou de fonctionnarisé de la Justice.

L'affaire est emblématique de l'exaspération des citoyen(nes) de plus en plus nombreux à devoir s'auto-défendre et à vouloir "faire justice" eux-mêmes. Elle est la conséquence directe de l'incapacité crasse de nos gouvernants à protéger les honnêtes gens et de l'irresponsabilité des robins militants du laxisme judiciaire. Tous ces gens là risquent fort de voir cette exaspération citoyenne, un jour, se tourner directement contre leurs personnes : les fourches patibulaires ne sont jamais très loin des lambris et des ors des Palais de Justice et des Hôtels de la République.

YD    

 

11 décembre 2010

Bobigny : le Tribunal emblèmatique ?

jugemonstrueux in novopress.jpgLes faits imputés aux sept policiers, qui viennent d'être condamnés - plus lourdement que des racailles de quartier sensible ou des politiciens véreux - au Tribunal de Grande Instance de Bobigny, sont assurément graves.

Mais étaient-ils aussi graves dans leurs conséquences que l'incompétence de certain juge qui a envoyé les innocents d'Outreau en prison ? Etaient-ils aussi graves dans leurs conséquences que les décisions ahurissantes d'autres magistrats qui ont remis des brutes homicides en liberté arrêtant ainsi inéluctablement le tragique destin de Natacha ou d'Anne-Lorraine ou de tant d'autres encore dont les noms s'égrèneraient en longue litanie des victimes du laxisme imbécile ou militant.

Ces robins là n'ont pas été jugés, ils ont continué ou continuent leur chemin vers la douillette retraite, ils ont continué ou continuent à exercer auréolés de leur suffisance d'intouchables, confortés par leurs pairs dans leur droit à décider sans être juridiquement responsables des conséquences de leurs décisions. La Justice - en principe rendue au nom du Peuple Français - ne sera respectée que si la Magistrature elle-même est respectée parce que respectable. L'est-elle encore? Sont-ils respectables ces arrogants robins politisés qui systématiquement font la part belle aux étrangers plutôt qu'aux français, aux zissus plutôt qu'aux gaulois, aux nomades plutôt qu'aux sédentaires, aux "jeunes" plutôt qu'aux policiers, aux agresseurs plutôt qu'à ceux qui se défendent, aux squatteurs plutôt qu'aux propriétaires...

Quant la Justice est tranformée en parodie militante elle n'est plus respectable et sera de moins en moins respectée par les citoyens. Un mot commence à hanter les esprits : épuration !

YD