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06 mars 2015

Racisme anti-blanc: dégueuli scénique subventionné à Lannion !

la-maison-du-theatre-accueille-la-place-du-chien.jpgArticle paru sur BREIZh INFO

Le 26 février dernier s’est tenue à Lannion, au « Carré Magique », la représentation d’une pièce de théâtre intitulée « La place du chien », imaginée par la troupe rennaise « Lumière d’août ».  Une pièce subventionnée où le racisme anti-blanc est à l’honneur.

Synopsis de ce «sitcom» : «  Silvain, musicien congolais, et Karine, jeune précaire française, tombent amoureux. Silvain vient s’installer chez Karine, qui habite avec son labrador Sherkan dans un minuscule appartement… Karine a un rapport assez fusionnel avec son chien, tandis que Silvain est persuadé qu’un esprit malin habite l’animal…
Apprendre à se connaître, s’aimer, trouver les moyens d’aménager le quotidien, vivre et surmonter des conflits rendus insolites par la présence de l’animal : c’est sur ce scénario banal que se construit le début de la pièce.Elle bascule progressivement vers des horizons plus étranges, politiques et métaphoriques. Le lit du couple devient un enjeu de pouvoir, Silvain tente de marabouter Sherkan, qui se met à lui écrire des messages sur le miroir de la salle de bain, ou à lui diffuser des chansons coloniales… Karine quitte son travail et découvre qu’elle peut tirer profit de la semence de son labrador, avant d’aller plus loin. Elle finit par perdre Silvain, qui atterrit derrière les grilles d’un Centre de Rétention Administrative.
Dans les relations des trois personnages, les rapports d’amour, de force, d’oppression ou de cruauté se déplacent et se renversent sans cesse. Animal et humains se côtoient, se confrontent et éprouvent leurs rôles.
Quelle place occupe-t-on ? Comment se traite-t-on ? Comment valorise-t-on son pedigree ?»

Outre une énième apologie du métissage, désormais précieux sésame pour garnir les comptes en banque associatifs de juteuses subventions, le concept de la pièce va plus loin : la femme blanche, serait opprimée et ne pourrait se libérer du « mâle blanc » qu’en se vendant sexuellement ou en s’ouvrant à d’autres cultures: elle reporterait sa frustration quasi intrinsèque sur son animal domestique ou bien sur l’homme noir, qui serait quant à lui porteur d’avenir, d’ouverture, et serait une victime permanente d’un système qui amène l’homme blanc à mieux traiter son animal domestique que l’Africain qui arrive sur notre continent sans y avoir été invité.

Le tout agrémenté de chants coloniaux des années 30 et du discours de Dakar de Nicolas Sarkozy, histoire de bien confirmer au public, quasi-exclusivement Européen de souche, qu’il est bourré de préjugés et de réflexes racistes et sexistes.

« J’ai écrit cette pièce suite à des discussions avec des amis africains sur le rapport étrange que les Blancs entretiennent avec leur chien. » affirme le plus sérieusement du monde Marine Bachelot, qui l’a mise en scène.

Paroxysme de la haine de soi et de la culpabilisation des Européens, cette pièce de théâtre est co-produite et subventionnée par la Maison du Théâtre (Brest), le Théâtre du Pays de Morlaix,  Scène de Territoire pour le théâtre, le Centre Culturel de Cesson-Sévigné mais aussi par l’Aide à l’écriture et à la production de Beaumarchais – SACD, le Ministère de la Culture et de la Communication au titre de l’aide à la production, le Théâtre National de Bretagne(Rennes) …

Ce sont donc des dizaines de milliers d’euros (des centaines si l’on inclut les subventions reversées au « Carré magique» de Lannion, hôte qui bénéficie de 450 000 euros par an de subventions de la part de Lannion communauté) qui ont servi – en plein coeur de la Bretagne – à commettre ce nouvel « attentat culturel » contre l’homme blanc et sa civilisation.

Prochaine représentation, le 9 avril à Saint-Brieuc, à « La Passerelle »…

 

05 mars 2015

Le CRAN, le pâtissier et les dieux africains!

france,lobbies,pensée unique,justice,racisme,résistanceIl suffit de quelques recherches adéquates sur la Toile pour se convaincre de la mauvaise foi haineuse ou de l'imbécilité crasse des représentants du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires-le même qui n'aime ni Tintin au Congo ni le tirailleur sénégalais de Banania) qui viennent de menacer de représailles judiciaires un pâtissier de Grasse qui a le front de proposer à sa clientèle des friandises en forme de "dieux et déesses africaines". Des personnages aux caractéristiques traditionnelles (comme les dieux Ogun du Cameroun ici en photo) disproportionnant certaines parties du corps (tête,sexe), présentant des bedons bedonnants ou des croupes monstrueuses, des membres grêles ou atrophiés, des bouches énormes ou des yeux dilatés..typiques des "arts premiers"

Les gugusses du CRAN ont vu dans ces pâtisseries, élaborées par un blanc, une évidente volonté de ridiculiser les religions africaines et une manifestation hypocrite de racisme colonial, alors qu'ils ne condamnent pas la vente, par leurs congénères, de reproductions de ces mêmes dieux, déesses et fétiches, avec les mêmes caractéristiques soi-disant désobligeantes sur la plupart des marchés de l'héxagone. A en juger par les réactions du populaire, l'initiative cranesque risque fort de finir en eau de boudin dont on ne précisera pas la couleur.

On pourrait en rire s'il ne s'agissait là encore d'une illustration de l'arrogance grandissante des représentants des lobbies communautaires (religieux et/ou raciaux) -soutenus et encouragés par les idéologues fumeux encore au pouvoir en France- qui pourrissent la vie du souchien à la moindre occasion sous les prétextes les plus fallacieux. Ici des revanchards du colonialisme qui ne crachent pas sur les subventions allouées par les descendants des colonialistes, des prétentieux surfant sur la repentance instituée qu'il conviendrait de remettre à leur juste et insignifiante place et à qui on devrait dire d'aller se faire voir chez Mugabe.

On marche sur la tête. Revenons les pieds sur terre: Résistance!

Sur le même sujet, l'excellent article de Caroline Artus sur Boulevard Voltaire

Rivarol comme chaque jeudi!

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Les titres du numéro 3178 du 5 mars 2014

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04 mars 2015

Shoah business: le tonneau des Danaïdes de la repentance européenne!

 

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La shoah génère depuis soixante-dix ans un flot ininterrompu de sommes astronomiques au titre des « réparations/compensations » aux victimes juives. En se penchant sur l’historique de ces versements, une convergence d’intérêts saute aux yeux : celle qui unit les dirigeants américains et certaines organisations juives d’outre-Atlantique, ligués pour faire payer les Européens et les obliger à traduire en espèces sonnantes et trébuchantes leur inépuisable culpabilité et leur autoflagellation permanente, bien soigneusement entretenues.

C’est l’histoire de cette véritable saga, aux implications politiques et financières évidentes, qui est ici contée. Depuis les premières restitutions opérées dès la fin du conflit jusqu’aux développements les plus récents.  Mais non les moins lucratifs.

Shoah, la saga des réparations, Anne Kling, Editions Mithra, mars 2015, 256 pages, 18,00 €

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C'était un camarade..!

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Nous venons d'apprendre avec tristesse la mort de notre camarade et ami Bert Van den Brande.

Militant depuis toujours de la cause flamande et européenne, il s'était engagé, au début des années 40, dans la grande croisade contre le bolchevisme. Depuis, il est toujours resté fidèle à cette vision révolutionnaire de l'Europe.

Bert venait souvent nous rendre visite à Paris, en particulier lors des journées nationale et identitaire de Synthèse nationale ou des Tables-rondes de Terre et peuple. Il aimait aussi l'Alsace où il séjournait parfois. A chaque fois que des militants se rendaient à Anvers, ils avaient la joie de le retrouver. Pour beaucoup d'entre nous Bert était une référence. Nous ne l'oublierons pas.Aujourd'hui, nous pensons à sa famille restée unie autour de lui, à notre Chère Hilde De Lobel, à Marcel son époux, à Francis Van den Eynde et à tous ses camarades du mouvement nationaliste flamand qu'il aimait tant.Les funérailles de Bert auront lieux samedi prochain à Anvers. Robert Spieler, Roland Hélie et plusieurs amis de notre revue y assisteront.

La rédaction de Synthèse nationale