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12 août 2006

Une goutte d'eau...

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   Il faut se féliciter de ce que la direction de l'usine AXTER, située à COURCHELETTES, ait annoncé la prochaine mise en oeuvre d'une ligne de production supplémentaire qui devrait générer douze emplois nouveaux.Même si le chiffre apparaît dérisoire, l'évènement mérite d'être signalé car il n'est malheureusement pas banal dans le bassin d'emploi de DOUAI où, comme dans toute la Région le chômage reste un fléau.

   Selon l'INSEE, fin mars 2006, le taux de chômage ( au sens du B.I.T. ) était de 9,50% en France mais de 13,00% pour notre Région ( 12,90% dans le Pas de Calais et 13,10% dans le Nord.) Les pays du Hainaut sont  inégalement mais fortement sinistrés: cambraisis 12,60%, valenciennois 13,80%, douaisis 14,30% et sambre-avesnois 15,60%! Une famille nordiste sur deux n'a pas pu s'offrir de vacances cette année ( contre une sur trois pour toute la France )

   C'est dire si toute nouvelle possibilité d'embauche stable est la bienvenue dans une petite ville du douaisis. Douze emplois, douze familles qui retrouvent espoir, c'est une opportunité rare. Encore faudrait-il que l'embauche soit soumise aux règles de la préférence nationale et que le travail soit réservé, dans notre Région, comme partout en France, aux citoyens français d'abord! C'est une réaction de simple bon sens qui devrait être édictée en règle générale. La priorité d'emploi pour les Français est un des principes de base du Mouvement National Populaire et Social de Jean-Marie LE PEN; dans quelques mois, nos concitoyens auront la possibilité d'en faire une réalité. Pour cela aussi, LE PEN vite!           MPD

10 août 2006

A lire et à relire...

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...pour se souvenir!

    Il y a 90 ans, sur quelques kilomètres carrés, se déroulait autour de Verdun une des plus gigantesque bataille de l'Histoire. De ceux qui y ont participé, les survivants se comptent sur les doigts de la main et leur mémoire directe bientôt ne témoignera plus. C'est pour cela que le livre " Verdun 1916 " est un ouvrage essentiel pour qui souhaite remonter le temps, partager la vie quotidienne de ces soldats en bleu-horizon et revivre la souffrance endurée pendant des mois par ceux qui ont incarné la fière devise: " on ne passe pas! " 

   Publié en 1934, le livre de Jacques Péricard - lui-même engagé volontaire pour le front d'octobre 1914 à mai 1917 - présente l'intérêt unique de décrire la bataille au jour le jour au travers des témoignages relevés directement auprès de milliers de soldats français. La réédition de 1997, actuellement disponible, couvre la période du 21 février au 11 décembre 1916; 610 pages, 392 photos en noir et blanc, une compilation de centaines de documents ( rapports, courriers, " paroles de poilus "...) qui font revivre intensément ce qu'ont vécu ceux " qui ont fait Verdun ".

     Mais peut-on réellement éprouver par les mots l'angoisse des hommes lancés à l'attaque: " ...une première vague d'assaut est anéantie...une deuxième vague est lancée qui connait le même sort...une troisième, puis une quatrième vague sortent de leurs tranchées, mais cette fois en colonne par quatre... ", ou la frénésie angoissée de ceux qui subissaient une offensive: "...pendant deux heures ce fut un tir incessant...les fusils étaient portés au rouge...nous graissions chaque cartouche avant de nous en servir...nous n'étions plus des hommes, nous étions des démons enivrés par la poudre..." ; est-il seulement possible d'imaginer la terreur des malheureux soumis pendant des heures et des jours aux incessants marmitages: " ...combien de temps dura ce bombardement?..pour moi, il dura des années...les obus tombent, les tranchées s'effondrent, les cadavres s'entassent, le sol bout...partout il y avait des morceaux de chair humaine épars...j'ai tellement souffert que je n'avais plus peur de la mort, il m'arrivait même d'envier les morts " ou la rage de survivre dans les corps à corps: "...à la grenade, au fusil puis à la baïonnette...avec des pelles, des pierres, tout ce qui tombait sous la main..." Tout est décrit avec les mots simples de ceux qui ont connu la faim et la soif, la chaleur et le froid, la pluie, la boue, les poux...l'angoisse, la souffrance, le désespoir, la rage et la hargne, mais aussi la camaraderie, la fraternité, le dévouement, la fierté du devoir accompli, et toutes les petites joies qui donnent le goût de vivre et d'espérer vivre encore.

        Les forts de Vaux, de Douaumont, ou de Souville, le bois des Caures ou celui d'Haumont, la côte du Poivre et la butte des Eparges, la ferme de Thiaumont...des noms connus, d'autres oubliés, des souvenirs précis et intenses en émotion, une lecture de communion avec tous les héros anonymes dont il a fallu que Chirac ose souiller le souvenir par ses propos imbéciles sur Philippe Pétain, le général vainqueur et ses considérations aussi incongrues qu'un étron sur la Voie Sacrée. Un beau livre, un livre utile pour saisir pleinement les paroles de l'auteur: " Qui n'a pas combattu à Verdun, ne connait pas la misère ".          YD

" Verdun 1916 "   Jacques Péricard  Nouvelle Librairie de France 1997  19€

  

    

08 août 2006

Anticipation?

medium_5587.3.jpg          medium_sarkopen.4.jpgSarkozy n'a pas le sens de l'humour très développé, c'est le moins que l'on puisse dire. Rouge de colère qu'il était le petit Nicolas quand l'affiche créee par l'association Act'Up avait commencé à décorer les murs de Paris; oeuvre d'imagination et de dérision qui gagne pourtant à être connue comme l'ont suggéré nos amis du FN d' Evreux vendredi dernier. Nul doute que le présidentiable auto-proclamé ait goûté particulièrement une version nouvelle, qui se veut encore plus " convaincante ", trouvée sur le site d'un " forum social " aquitain, et rappelant un peu la célèbre affiche de l'Oncle Sam appelant à la mobilisation en 1917 ( We want you! ) Lui que certains de ses bons " amis " surnomment " l'américain " a sans nul doute dû apprécier le style. Après tout ce n'est peut-être qu'anticiper sur la campagne de l'UMP l'an prochain, lorsque Jean-Marie LE PEN affrontera Mme Ségolène au 2e tour..."peut-être", parce que le candidat de la droite nationale peut très bien être porté par une formidable vague populaire et balayer tous ses opposants dès le premier tour! C'est bien ce que l'on peut souhaiter de mieux pour notre pays! En attendant, un peu d'humour Niko!     MPD

06 août 2006

La fin d'un monde

medium_Moderu_006a.2.jpg          Le 6 août 1945 à 08h15 du matin, la superforteresse Boeing B29, que son pilote, le colonel Paul Tibbets a baptisé " Enola Gay " en hommage à sa mère, largue " little boy " sur Hiroshima; le 9 août, à 03h49, " Bock's car ", le B29 du major Sweeny, envoie " fat man " sur Nagasaki.

          Les premières armes de destruction massive, initialement prévues pour être testées sur l'Allemagne, seront finalement expérimentalisées sur le peuple japonais. Pour les scientifiques américains, il était impérieux de pouvoir juger des effets de la bombe atomique en situation réelle; pour le haut état-major US, il devenait urgent de passer à un stade supérieur dans la stratégie de bombardements intensifs et aveugles destinés à terroriser la population civile. Cette stratégie, initiée en Allemagne - notemment à Dresde et Hambourg - était mise en oeuvre depuis des mois sur le Japon sans résultats notables: les japonais continuaient à faire corps avec leur Empereur et à soutenir leurs soldats. L'armée nippone, globalement invaincue, s'accrochait au terrain,  résistait dans le Pacifique, île par île, îlot par îlot, dans des combats au corps à corps féroce, et les " kamikaze " continuaient à se sacrifier.  L' opération " downfall " prévoyant l'invasion du Japon et la conquête du pays risquait d'entraîner des pertes considérables, évaluées par le tout nouveau Pentagone à un million environ de ses " boys ". Le Président Harry S.Trunam se laissera facilement convaincre que seule l'arme nucléaire pouvait mettre le pays des samouraïs à genoux.

          " Pt'it gars " et " gros mec " vont vitrifier 75.000 personnes à Hiroshima et 39.000 à Nagasaki; plus de 100.000 autres mourront avant la fin de 1945 des suites de leurs blessures ou de leurs brûlures; au fil des ans, le nombre des victimes continuera à augmenter et des " survivants " meurent encore des cancers provoqués par les irradiations: à Hiroshima seulement, fin 2004, on dénombrait officiellement 237.062 victimes de la bombe. L'expérience avait été concluante et Harry Truman avait pu s'écrier au soir du 6 août: " C'est le plus grand jour de l'Histoire! "

          Le temps des guerriers était définitivement terminé, celui des techniciens de la guerre venait de s'imposer.. Il n'y aurait plus de samouraïs pour reprendre les paroles de Yukio Mishima: " Nous jurons dans l'esprit des vrais hommes de Yamato, de nous lever l'épée à la main contre toute menace portant à notre culture et à notre patrimoine."          YD

           

04 août 2006

Natalité: les interdits

medium_bebe28ey.2.jpg   Dans son numéro de fin juin dernier ( 1144 ) National-Hebdo s'est fait l'écho de chiffres très révélateurs librement publiés en Espagne et concernant la natalité dans le royaume ibérique. 

   Il en ressortait qu'en 2005, le taux de natalité était resté un des plus bas d'Europe même s'il progressait très légèrement mais surtout que si le nombre des naissances " de souche " augmentaient de 0,95%, celles des enfants d' immigrés ( exclusivement ou presque extra-européens ) connaissaient une envolée de 11,70%! Ce qui revient à dire, que si cet état de fait perdure, à terme l'Espagne aura subi une totale substitution de population, et que sa civilisation indigène millénaire disparaitra totalement.

     Au moins les espagnols sont-ils avertis du danger; en France la dictature de la police de la pensée interdit toute publication de chiffres " politiquement incorrects " touchant à la natalité. Il faut se contenter d' indices fragmentaires qui parfois se révèlent incidemment: ainsi, dans le 9-3 le prénom le plus couramment attribué aux nouveaux-nés masculins en 2005 a été Mohamed ( in Encyclopédie des prénoms de M.O Mergnac / sur www.notrefamille.com ); de temps à autres aussi des articles de presse laissent échapper des indications: la mairie communiste de Champs-sur-Marne ( Seine et Marne ) par exemple s'est emue du sort d'une famille malienne " un père, ses trois épouses et leurs dix-sept enfants " et celle des Mureaux ( Yvelines ) de celui de " 80 familles africaines totalisant près de 1000 enfants "

     Il faudrait être totalement aveugle pour ne pas avoir la certitude qu' en France le constat interdit serait au moins identique à celui qui est autorisé chez nos voisins d'outre pyrénées. C'est bien évidemment pour des raisons politiques que les statistiques de ce genre ne sont pas tenues ou plutôt qu'elles ne sont pas publiées. En 2005, le taux de fécondité moyen des femmes françaises a été officiellement de 1,94 ( le 2e d'Europe après l'Irlande ); à en croire des estimations officieuses, il serait très inégal: 1,7 pour les femmes de souche européenne, 3,25 chez les femmes maghrébines et jusqu'à 4,02 pour les africaines sub-sahariennes. ( in Polémia: www.polemia.com ) Par ailleurs, pour des raisons culturelles et religieuses, les immigrées extra-européennes ont très peu recours à l'avortement et ne fournissent qu'une part infime des quelques 200 à 220.000 " déchets hospitaliers " envoyés chaque année à l'incinérateur depuis 30 ans.

     Il suffit donc de savoir compter pour comprendre que la France aussi est en train de subir une lente mais sûre substitution de population qui ne peut être stoppée qu'avec l'arrêt de l'immigration allogène et un encouragement de la natalité indigène. A moins d'être un tenant de la fin des peuples et du brassage universel, c 'est une question essentielle de volonté politique...ce n'est pas à l'ordre du jour de Nicolas Sarkozy et de son projet de " France d'après la France " Il faudra s'en souvenir dans quelques mois.               YD          ( photo in Novopress )