04 mars 2015
Shoah business: le tonneau des Danaïdes de la repentance européenne!
La shoah génère depuis soixante-dix ans un flot ininterrompu de sommes astronomiques au titre des « réparations/compensations » aux victimes juives. En se penchant sur l’historique de ces versements, une convergence d’intérêts saute aux yeux : celle qui unit les dirigeants américains et certaines organisations juives d’outre-Atlantique, ligués pour faire payer les Européens et les obliger à traduire en espèces sonnantes et trébuchantes leur inépuisable culpabilité et leur autoflagellation permanente, bien soigneusement entretenues.
C’est l’histoire de cette véritable saga, aux implications politiques et financières évidentes, qui est ici contée. Depuis les premières restitutions opérées dès la fin du conflit jusqu’aux développements les plus récents. Mais non les moins lucratifs.
Shoah, la saga des réparations, Anne Kling, Editions Mithra, mars 2015, 256 pages, 18,00 €
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13:23 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, shoah, shoah business, lobbies, juifs, usa
26 février 2015
Synthèse Nationale: un nouveau "bouquin"!
Un texte fondamental...
Un texte essentiel du Capitaine sur ce qui reste une des formations militantes les plus exemplaires, ses actions, sa formation et son idéologie.
La Garde de Fer ne formait pas seulement des militants mais des soldats politiques ! Une leçon à étudier et à méditer dans ces temps de grande confusion !
Ce livre de 458 pages avait été réédité dans les années 2000. Il en restait quelques exemplaires. Ils sont à nouveau disponibles. Synthèse nationale les propose aujourd'hui à ses lecteurs. Vous pouvez le commander (30 € + 5 € de port - chèque à l'ordre de Synthèse nationale) à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) ou en ligne en cliquant ici.
Dans quelques mois, un prochain numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme sera consacré à Codreanu et au Mouvement légionnaire roumain.
12:08 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0)
20 février 2015
5e numéro des Cahiers d'Histoire du Nationalisme édités par Synthèse Nationale!
Méconnu en France, le Maréchal Carl Gustaf Emil Mannerheim incarna, dans la première moitié du XXe siècle, l'héroïque résistance nationaliste et anti-communiste du peuple finlandais face aux prétentions impérialistes des soviétiques.
Mannerheim fit preuve d'un pragmatisme original grâce auquel la Finlande est sortie victorieuse de sa guerre de libération nationale. Certes, il s'entendit avec les puissances de l'Axe, mais cela ne l'empêcha pas de continuer à jouer un rôle politique important jusqu'à sa mort survenue en 1951.
Jean-Claude Rolinat, à qui nous devons un livre consacré à Salazar cliquez ici et un autre à Mandela cliquez là (publiés aux Bouquins de Synthèse nationale), nous fait revivre dans ce n°5 des Cahiers d'Histoire du nationalisme ce grand patriote qui mérite d'être mieux connu.
Vous pourrez aussi lire des documents historiques consacrés à Mannerheim :
- Un article du professeur François Duprat publié en 1973 dans Défense de l'Occident.
- Un entretien avec Alfred Fabre-Luce publié dans Les Ecrits de Paris en 1952.
- Une contribution de Philippe Vilgier, auteur d'une biographie de Jean Fontenoy (Editions Via Romana 2012) qui fut volontaire pendant la guerre d'Hiver en 1939 en Finlande dans les rangs des troupes nationalistes.
200 pages, 20 €
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CAHIERS D'HISTOIRE DU NATIONALISME
Par correspondance en envoyant un chèque de 23 € (20 € + 3 € de port) à l'ordre de Synthèse nationale à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
Abonnement : France, 6 numéros 110 € - Etranger 130 €
16:03 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : synthèse nationale, nationalisme, finlande, histoire, mannerheim, communisme
17 février 2015
Djihad par ci, djihad par là!
Dans un article publié ce 17 février sur le site de "Challenges" à propos des "attentats de Paris et de Copenhague", un éditorialiste a écrit : Il faut insister sur un point, le répéter sans cesse, enfoncer le clou sans jamais renoncer (...) rappeler que les musulmans de France et d'Europe n'ont pas grand chose en commun avec les islamistes" C'est grosso modo la version et le mot d'ordre général du Système et du politiquement correct appuyé sinon dicté par les représentants des communautés musulmanes d'Europe et les dignitaires religieux des pays musulmans prudents. C'est aussi une preuve d'ignorance, une divagation dans l'erreur ou une manipulation éhontée des esprits.
Car enfin, si les musulmans ne sont pas nécessairement des acharnés islamistes, ces derniers sont aussi des musulmans et tous se réfèrent à l'Islam, au même Coran, aux mêmes paroles et aux mêmes actes à proprement parler "exemplaires" du même Mahomet, un même personnage historique dont il n'est pas lieu ici de dire s'il a eu révélation de Parole Divine, s'il a cru avoir révélation ou s'il a prétendu avoir révélation mais qui est unique source de la doctrine de l'Islam.
Cela dit on notera que dans le Coran la racine jhd se trouve dans 35 versets: 22 fois dans un sens général, 3 fois pour une démarche spirituelle et 10 fois pour des actes guerriers. Mahomet n'a pas honni la violence et l'usage des armes: il a lui-même combattu, il a été chef de guerre, il a fait exécuter des prisonniers, il a fait assassiner des contradicteurs et des "chansonniers" qui l'avaient irrité ou ridiculisé. Par ailleurs, dans le Coran, il y a huit versets "pacifistes"mais de fort nombreux autres versets "belliqueux", "anti-pacifistes" ou franchement "bellicistes"; dans la Sunna nombre de "dits du Prophète" exaltent le djihad comme action strictement guerrière et assurent des récompenses célestielles; la Sîra, la vie du Prophète, révèle son évolution (et par là même celle de la Communauté) de l'attitude "pacifiste" des débuts précaires, vers la pratique de la guerre justifiée par la défense légitime jusqu'à la légitimation de la conquête guerrière. Enfin, Mahomet a affirmé avoir eu révélation que Dieu ferait prévaloir l'Islam sur les autres religions ce qui implique à l'évidence une domination religieuse indissociable de la domination séculière: d'où la magnification du djihad comme instrument de conquête religieuse et politique.
Le djihad est intrinsèque à l'Islam. Son acceptation spirituelle (djihad du coeur ou de la langue), peu développée dans le Livre et les Dits, n'est mise en avant que lorsque la Communauté se juge en position de faiblesse parce que minoritaire par exemple. Ce qui n'exclut pas l'acceptation de son sens le plus fréquent, le combat guerrier ( le djihad du sabre) dont le but alors n'est pas de convertir mais de conquérir. Tout musulman, dit modéré ou dit fondamentaliste, a cette acceptation à disposition s'il l'estime nécessaire. (à suivre)
17:44 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, islam, djihad, mahomet, islamisation, résistance
06 février 2015
6 février 1945 : assassinat de Robert Brasillach!
19 janvier 1945, une parodie de procès aux Assises de la seine : 6 heures d'audience, aucune audition de témoins, des jurés populaires soigneusement sélectionnés pour avoir "fait preuve de sentiments nationaux au cours de l'Occupation" et de toutes façons tétanisés à la fois par Marcel Reboul - le procureur général, on dira plutôt l'accusateur public, un bonhomme fort soucieux par ses envolées haineuses de faire oublier qu'il fut robin zélé aux ordres de l'Etat Français et qu'il n'avait que récemment et fort opportunément retourné sa veste sinon son pantalon - et par le président Maurice Vidal qui -avant toute chose préoccupé de sa carrière- va expédier la délibération en 20 minutes avant de prononcer la sentence de mort dictée par le garde des sceaux du gouvernement provisoire du général à titre (éternellement) provisoire Charles de Gaulle;
6 février 1945, un poteau au Fort de Montrouge et 12 balles dans un corps de 35 ans : le général intérimaire n'a pas voulu commuer la peine, il n'a pas même daigné prendre connaissance de la demande de grâce contresignée par 55 personnalités comme Paul Valéry, Georges Duhamel, Jean Paulhan, Thierry Maulnier, Roland Dorgelès, Jean Anouilh, Jean-Louis Barrault, Jean Cocteau, Max Favalelli, Marcel Achard, Albert Camus, Arthur Honegger, Daniel Rops, Marcel Aymé, Colette, Charles Dullin...Grand par la taille seulement le général transitoire n'a pas eu le cran de contrarier les communistes de son gouvernement et puis, comme le dit excellemment le procureur Philippe Bilger dans son livre " 20 minutes pour la mort" "il manquait à cet homme d'Etat qui invoquait sans cesse la grandeur la seule grandeur qui vaille : la grandeur d'âme".
Il y a 70 ans qu'a été assassiné Robert Brasillach, journaliste, romancier, poète...pour ses idées, pour ses écrits et pour cela seulement. Pour d'aucuns, il est devenu de bon ton de se dire "Charlie", il n'y a donc aucune raison de ne pas pouvoir dire que l'on se sent "Robert"!
16:28 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, 6 février 1945, robert brasillach