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24 avril 2014

Marseille, les racailles diminuent encore leurs effectifs: une embellie dans la morosité ambiante!

france,sécurité,criminalité,marseille,racailles,peine de mortEncore un règlement de compte à Marseille! Pourquoi s'en plaindre ? Assez d'angélisme, ce sont des racailles qui s'entretuent. Et les éliminations sont parfaitement ciblées. Des pros de la truanderie plombent des concurrents et sans dégât collatéraux. En règle générale, l'épuration se passe dans le cadre de l'économie souterraine liée au trafic de stupéfiants, quant aux victimes, ce sont le plus souvent des allogènes "connus des services de police", des truands notoires, des apprentis gangsters ou des taulards en voie de réhabilitation dans leur activité favorite. Ce ne sont certainement pas les honnêtes gens ou les policiers de terrain qui vont regretter leur mise hors d'état de nuire définitive. Dans un pays où il n'y a plus ni peine de mort ni réclusion perpétuelle effective, il n'est pas dommage que les nuisibles s'acharnent à limiter leurs propres effectifs à la kalachnikov.

Depuis le début de l'année, il y a eu 8 canailles envoyées ad patres dans les Bouches du Rhône (dont 6 à Marseille). Il y en avait eu 10 en 2010, 20 en 2011 (dont 13 à Marseille), 24 en 2012 (18 à Marseille) et 20 en 2013. Et ce malgré les sommes considérables investies à fonds perdus dans ces "quartiers" massaliotes qui sont de véritables couveuses à racailles de tous poils, malgré les renforts énormes en hommes et en matériels pour la police et la gendarmerie et surtout malgré les rodomontades ou les coups de menton des politiciens.

Soyons réalistes, le seul moyen vraiment efficace contre la truanderie est le nettoyage par le vide style opérations de police dans les favelas brésiliennes les plus criminogènes. Il ne faut guère y penser dans une France où par choix idéologique les dirigeants n'osent pas s'en prendre aux "droits de l'homme" des criminels désormais menacés du martinet ou chouchoutés prisons trois étoiles, sursis, semi-liberté et remises de peines automatiques. Alors il reste à se réjouir de l'auto-destruction des racailles en Paca ou ailleurs dans l'attente ici ou là d'une "Saint-Valentin" marseillaise genre Chicago 1929 ou même - pourquoi espérer petit - d'une grande "Saint-Barthélémy du mitan" selon la formulation de Michel Audiard.

10 mai 2013

Marseille : six racailles de moins depuis le début 2013 !

5760004-marseille-valls-denonce-un-neobanditisme-des-cites.jpgA Marseille, la truanderie continue de réduire ses effectifs ! C'est une pratique propre aux prédateurs que de maintenir leur nombre à un niveau raisonnable sur leur territoire pour continuer à y vivre dans des conditions acceptables. Ainsi depuis le début de l'année, six racailles "marseillaises" ont été farcies de plomb ( il y en a eu 24 en 2012); Iskander le dernier en date s'est allourdi de 23 balles de 9mm, trucidé proprement par des tueurs à moto, un modus operandi classique mais imparable, scène culte vue et revue dans nombre de polars. Inutile de préciser qu'Iskander était un "jeune", connu des services de police et membre d'un gang soupçonné d'avoir perpétré l'attaque d'une bijouterie le 30 mars dernier durant laquelle des coups de feux avaient été tirés sur la police. Une racaille donc, dessoudée par d'autres racailles, qui s'en plaint réellement ? Certainement pas les honnêtes citoyens, ni les policiers de terrain qui comptent les coups sans doute avec satisfaction.

Manuel Valls y est allé de ses rodomontades habituelles sans une fois de plus aller au fond des choses même s'il a osé évoquer un "néo-banditisme propre aux cités". L'augmentation des effectifs de police n'ont pas servi et ne serviront pas à grand'chose tant que les policiers n'auront pas consigne d'aller traquer la racaille là où elle se trouve, c'est à dire dans les enclaves exotiques des "quartiers nord" qui lui servent de base, de refuge, de zone de stockage, d'arsenal et de pouponnière. Présence policière et investissements massifs aux frais des contribuables sont aussi inutiles que coûteux dans ces "quartiers", peuplés qu'ils sont de surnuméraires allogènes qui entendent continuer à bien vivre des aides publiques et de la truanderie sans même envisager de devoir travailler. A Marseille, comme en tant d'autres villes françaises ceintes de banlieues criminogènes, ce n'est pas un Tartarin qu'il faut, c'est un Matamore (au sens ethymologique du terme) ou un flic à la Audiard n'hésitant pas à organiser la Saint-Barthélémy du mitan. En attendant, que les racailles s'entre-tuent, personne de sensé ne s'en plaindra !

16 mars 2013

Marseille : gesticulations de Vals, le vrai problème occulté !

Les truands marseillais réduisent leurs effectifs à coups de kalatchnikov ! Qui va s'en plaindre ? Certainement pas les policiers de terrain ou les honnêtes citoyens. Le Valls de l'intérieur lui de se satisfait pas de la chose et vient de dépêcher 240 hommes supplémentaires pour patrouiller dans la cité phocéenne...une présence éphémère qui n'aura de toute façon pas grande utillité faute de pouvoir quadriller finement la ville entière et notamment ses fameux "quartiers nord"

lycéensjeunes.jpgDes quartiers où continueront de sévir les petites frappes ordinaires, ces racailles en herbe comme le "jeune" de 14 ans qui vient de taillader le visage d'un conducteur de bus qui l'avait paraît-il mal regardé. Le petit salopard a usé d'un couteau à lame de 15 cm qu'il portait sur lui en permanence, un acte qui lui vaudra sans doute un peu plus qu'un rappel à la loi, mais pas beaucoup plus et dont il tirera gloire auprès des autres nuisibles de son entourage ordinaire. La loi et l'ordre ne règneront pas à Marseille tant que les couveuses à racailles que sont ces "quartiers" - dont on sait bien qu'ils sont désormais des enclaves étrangères exotiques - n'auront pas été nettoyés, épurés, vidés des indésirables (qui plus est budgétivores) qui y prolifèrent par familles entières dont il faudra bien organiser le retour massif au pays.

La gravissime menace permanente sur Marseille, ce n'est pas uniquement les ponctuels tirs croisés de truands en rivalité, c'est d'abord et surtout le risque de déferlement de cette masse croissante de boules de violence haineuses persuadées que le céfran doit baisser les yeux et raser les murs, leur refiler ses tunes et ses meufs (tout juste bonnes à égayer les tournantes )et à la fermer au risque de se faire égorger. Mais cela, les idéologues fumeux qui nous gouvernent, leurs lobbies et leurs idiots utiles de l'angélisme l'occultent totalement : écran noir sur des lendemains qui déchanteront gravement. Rassemblement Résistance Reconquête !

18 juillet 2012

Les portes du hallal en Europe : après Marseille, Zeebrugge !

bhworldhalalctt.jpgAprès Marseille en septembre 2010, c'est maintenant au port de Zeebrugge (Zeebruges) que le Halal Food Council of Europe basé à Bruxelles (et filiale du World Halal Council opérant d'Indonésie)) a décerné son brevet de satisfaction pour le respect apporté aux exigences de la charia en matière de traitement des produits hallals importés. En deux ans, les fortunes anonymes et vagabondes de l'import-export ont fait tomber deux grands ports européens en dhimmitude pour obtenir une part du juteux marché mondial du hallal ( 500 milliards de $us par an ). Un évènement révélateur de l'importance croissante de l'immigration de peuplement mahométane allogène comme de la politique de banalisation du hallal menée par les collabos de l'islamisation.   

Marseille premier port hallal au sud, Zeebrugge premier port hallal au nord : de la Méditerranée à la Mer du Nord, la tenaille hallalistique a planté ses mors sur l'Europe et entend bien ne plus desserrer l'étau sauf à y être obligée. Il faut y travailler : Rassemblement - Résistance - Reconquête ! 

source 

  

07 février 2011

Dockers de Marseille : les damnés de la flemme !

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En pleine grève, les dockers du port de Marseille sont au centre d'un sévère rapport de la Cour des comptes publié par la presse jeudi 3 février.

La Cour des comptes, qui évalue la durée hebdomadaire du travail de cette catégorie à 14 heures à Fos et 12 à Marseille, dénonce l'existence de "gratifications illégales" qu'elle assimile à des "bakchichs". Versées par des entreprises privées, elles peuvent représenter jusqu'à 1.300 euros par mois. Dans ces conditions, la rémunération nette mensuelle des grutiers et portiqueurs peut atteindre entre 3.000 et 4.500 euros.

Source : Le Monde via Polémia