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11 janvier 2015

Synthèse Nationale: aujourd'hui restons chez nous, ni Charlie ni Charia!

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Charlie continue à servir le Système!

6faf38d4.jpgLa vérité :

 

Disons que si, au lieu de s’en prendre à la rédaction de Charlie Hebdo, des terroristes avaient décimé celle de Valeurs actuelles, il est fort à parier que les réactions n’auraient pas été les mêmes. On n’aurait pas vu fleurir les « Je suis Valeurs » comme on a vu fleurir les « Je suis Charlie » (du verbe « être », je suppose, pas du verbe « suivre »). La classe politique gouvernementale n’aurait certainement pas parlé d’« union nationale » (thème mystificateur par excellence, d’ailleurs, car une telle « union » profite toujours à ceux qui détiennent le pouvoir et veulent bénéficier d’un consensus). Contrairement à son prédécesseur Hara Kiri, Charlie Hebdo, journal libéral-libertaire, était devenu l’un des organes de l’idéologie dominante. Celle-ci sait reconnaître les siens. Alain de Benoist

Carl Lang: le parti de la France ne défilera pas derrière les socialistes et les imams!

carl-lang-ancien-du-fn-candidat-la-presidentielle.jpgCommuniqué de Carl Lang, Président du Parti de la France

Le Parti de la France rend hommage et félicite les forces de l’ordre, les unités du GIGN et du RAID qui ont permis une neutralisation rapide des tueurs islamistes.

L’expérience vécue d’une double opération commando doit nous préparer à faire face demain à des actions combinées et multiples sur notre territoire. Dans ce cadre, nous rappelons la nécessité de renforcer considérablement les moyens de nos services de renseignement ainsi que nos forces de police et de gendarmerie afin de relever le défi du terrorisme islamique et des actions révolutionnaires à venir.

Le Parti de la France s’associe et compatit à la douleur de toutes les familles des victimes civiles et policières qui ont été tuées ou blessées durant ces évènements tragiques.

Mais Le Parti de la France refuse de s’associer à la manifestation de récupération politique organisée à l'initiative du parti socialiste qui réunira dimanche en tête de cortège les dirigeants politiques, associatifs et médiatiques qui ont livré notre pays à l’immigration-colonisation et au terrorisme islamiste : Hollande, Valls, Taubira, Harlem Désir, mais aussi Mélenchon, Besancenot ou Juppé, les apparatchiks de la CGT et des associations prétendument « anti-racistes » SOS Racisme, le MRAP, la LICRA ainsi que les imams de l'UOIF...

L'application de leur idéologie fondée sur la destruction de l’identité nationale et des valeurs de notre civilisation chrétienne et européenne ainsi que leur acharnement à imposer au peuple français une politique d’immigration de masse permet aux révolutionnaires islamistes d’agir désormais en France comme des poissons dans l’eau.

Aujourd'hui, répétant comme un mantra « pas d'amalgame », ils refusent de voir la vérité en face et de réaliser que ces islamistes mènent un combat politique et révolutionnaire au nom d’Allah, du Coran et du prophète. En appelant les Français à dénoncer l’islamophobie au lieu de dénoncer l’islamisme révolutionnaire, ces dirigeants politiques servent objectivement les intérêts des ennemis de la France et mettent en danger le peuple français.

Par ailleurs, Le Parti de la France n’oublie pas les persécutions et les assassinats dont sont victimes les Chrétiens d’Orient et ce, dans l’indifférence générale de ceux qui aujourd’hui défilent derrière leur banderole : « Je suis Charlie ».

Les journalistes de Charlie-Hebdo abattus par les tueurs djihadistes sont des victimes de l’islamisme. Cela n’en fait, à nos yeux, ni des héros, ni des saints, ni des modèles. Nous ne sommes pas Charlie, nous sommes Français et nous ferons tout pour le rester malgré les politiques de destruction nationale menées par les partis de la Gauche internationaliste et anti-française.

Contrairement à madame Le Pen qui trépigne d'impatience parce que les socialistes ne lui ont pas envoyé de carton d'invitation, je refuse de défiler derrière ces gens-là et j’appelle tous les patriotes à rejoindre Le Parti de la France.

source

10 janvier 2015

Aura t-on encore longtemps le droit de ne pas être Charlie?

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Au train où çà va ce n'est pas certain du tout! On a pu voir aujourd'hui les prémisses de ce qui demain dimanche devrait être l'Apothéose, non pas des 17 victimes de la furie mahométane de ces derniers jours, mais de quelques unes d'entre-elles et notamment du quarteron de signatures préférées des médias et de la bobosphère : Cabu, Wolinski, Charb et Tignous érigés en martyrs tout à la fois de la République, de la liberté de la presse, de la laïcité, de la tolérance, de la France plurielle, du vivre ensemble, de l'Islam de France et de l'humour talentueux au service de l'Universel.

Bref oser dire qu'on n'appréciait que modérément voire pas du tout une feuille de bobos éditée pour les bobos et qui n'avait pas même l'intérêt de pouvoir être parcourue d'un derrière distrait va bientôt relever de la même inconscience qu'une critique des lois mémorielles. Et pourtant -au-delà du drame humain infiniment regrettable pour les victimes et leurs proches mais qui n'est pas plus sinistre par exemple que la mort prématurée de dizaines de soldats français pendant les diverses interventions exotiques "contre le terrorisme" (et pour les multinationales) de ces dernières années- en quoi le Gaulois devrait y aller du lacrymogène sur la disparition probable d'une parution qui, dans une très large proportion, s'attachait surtout à discréditer tout ce qui se rattache à la patrie, à la nation, à la famille naturelle, à l'identité européenne, aux traditions religieuses...bref à déverser son fiel anti-blanc et anti-national enrobé d'humour scatologique sauce perverse avec, pour donner le change, quelques saillies -qui se révèleront aussi financièrement profitables que malencontreuses- en direction d'une sensibilité religieuse d'importation fort réactive au blasphème.

Avancer que demain le grandiose panthéonesque va confiner au grotesque sera certainement politiquement incorrect, tout comme pronostiquer qu'après-demain le "beauf" contribuable va trouver sévère que Charlie "citoyen d'honneur de Paris" soit arrosé d' un million d'euros d'aide publique à fonds perdus pour renflouer une trésorerie défaillante depuis des lustres faute de lecteurs. Un Charlie qui va en outre bénéficier d'un million d'exemplaires d'un "spécial survivants" tiré et "publicité" gratos et ratisser le produit d'un geste citoyen salutaire qui s'apparente presque à de la vente forcée tant la pression morale est déjà forte sur le populaire.

Alors pendant que c'est encore possible sans encourir le lynchage médiatique et la mort civique, je persiste à dire que je ne suis décidément pas Charlie!

 

 

18:10 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0)

Charlie par ci, Charlot par là!

france,islamisationimmigration,pensée unique,liberté,médiasNon vous n'êtes pas Charlie..vous êtes Charlot par Altana Otovic 

Maintenant que les cadavres ont refroidi, passons aux choses sérieuses. Le choc et le recueillement s’estompant, il est déjà temps – avant qu’il ne soit trop tard – de sortir les plumes des fourreaux, de dégainer les idées brûlantes, enfin, de battre le fer tant qu’il est chaud.

Alors, comme ça, vous êtes Charlie ? Vous, la meute tirant à vue depuis des années sur tous ceux qui vous dérangent, vous vous émouvez maintenant que la mitraille retentit contre votre camp ?

« Je suis Charlie », dites-vous d’une seule et même voix. « Je suis Charlie », annoncent les pancartes que vous brandissez dans les rédactions. « Je suis Charlie », scandent vos avatars et vos hashtags sur les réseaux sociaux. Et vous avez bien raison.

Seulement…Vous êtes Charlie aujourd’hui, mais vous n’étiez pas Éric Zemmour hier, quand il s’est fait virer d’i>Télé pour raisons politiques. Pire encore : vous pétitionniez à tour de bras pour l’évincer du service public.

Vous êtes Charlie, mais vous n’étiez pas mon ami Robert Redeker en 2006, quand un papier critiquant l’islam dans Le Figaro lui valut une tornade de haine : graves menaces de mort qui le gardent encore aujourd’hui sous protection policière, désaveu et silence de la classe intellectuelle et journalistique, lynchage dans les règles de l’art sur le plateau d’« ONPC ».

Vous êtes Charlie, mais vous n’étiez pas Clément Weill-Raynal, pour certains votre confrère, mis à pied de France 3 pour avoir révélé l’affaire du « mur des cons » dont il fut le plus triste fusillé.

Vous êtes Charlie, mais vous n’étiez pas Robert Ménard à son licenciement, Michel Houellebecq, Renaud Camus ou Christine Tasin à leurs procès respectifs pour avoir critiqué l’islam.

Vous êtes Charlie, mais vous trouvez normal que le FN soit exclu de la manifestation hommage de ce dimanche à laquelle tous les partis seront conviés, et alors même que vous défendez l’union nationale, dont notre pays a, en effet, plus que jamais besoin.

Vous êtes Charlie, mais vous soutenez toutes les lois mémorielles qui empêchent les intellectuels de faire leur travail, pour le bien de l’Histoire et de la vérité.

Vous êtes Charlie, mais vous n’êtes pas Richard Millet face à la meute d’Annie Ernaux et d’une centaine d’écrivains délateurs et complices, vous n’êtes pas Alain Finkielkraut ni Dieudonné, ou encore Ivan Rioufol, brillant d’intransigeance mais déchiqueté comme un gigot jeté aux lions sur le plateau d’« On refait le monde » ce jeudi 8 janvier.

Vous êtes Charlie, mais vous n’êtes rien de ce qui sentirait trop le soufre, vous êtes les dénonciateurs de tous ceux qu’on abat sur l’autel du politiquement correct, vous êtes ceux qui tenez le fusil, les bourreaux objectifs de tous les indésirables de la liberté. Votre liberté à vous et à vous seuls.

Pourtant, la liberté n’a qu’un seul visage. C’est la liberté pour les sains, la liberté pour les fous, la liberté pour les noirs, la liberté pour les blancs, la liberté pour ceux qu’on désapprouve peut-être mais qui font la diversité et la santé intellectuelle de notre pays.

Vous n’étiez pas ces gens, et aujourd’hui vous êtes Charlie ? Vous vous mentez, vous nous mentez. Vous êtes ce qui vous arrange, quand cela vous arrange. Vous n’êtes pas Charlie, vous êtes Charlot. Et tant que vous ne défendrez pas les principes que vous dites avoir au cœur jusqu’au bout, vous le resterez.

source: Boulevard Voltaire