12 mai 2014
Indochine: la réalité des camps d'extermination du Viêt-Minh!
Le numéro de mai 2014 du "La Voix du Combattant" (mensuel de l'Union Nationale des Combattants) consacre un dossier au martyre des "prisonniers de l'enfer" en hommage aux soldats et officiers de l'armée française prisonniers de guerre du Viêt-Minh après Dien Bien Phu.
Dans l'éditorial du mensuel, on peut lire ces mots fort courageux en ces temps d'Histoire revisitée par le politiquement correct à la mode et d'indignation à géométrie variable où il est des victimes plus victimes que d'autres, des bourreaux moins bourreaux que certains, voire des exterminés qui méritaient de l'être et des exterminateurs élevés au rang d'épurateurs nécessaires:
" Son regard illustre lui seul la dimension tragique de la guerre d'Indochine (...) il y a le regard mais il y a surtout la posture de cet officier supérieur, acteur avec ses hommes d'une résistance héroïque dans le camp retranché, qui a enduré mille souffrances physiques et morales en détention (...) à la lecture des témoignages de prisonniers rescapés de ces camps viets - dans lesquels le taux de mortalité était supérieur à celui enregistré dans les camps nazis pendant la seconde guerre mondiale (...) on ne peut s'empêcher de penser que les soldats français n'ont pas toujours eu les politiques que leur courage et leur fidélité méritaient." CQFD
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12:26 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, indochine, vietminh, dien bien phu, cirmes de guerre, communisme
11 mai 2014
Europe de la décadence: l'Eurovision consacre la fausse femme à fausse barbe!
L'être est né Tom Neuwirth mais désormais il se fait appeler Conchita Wurst. C'est un transsexuel, un artiste style drag queen. Il chante en anglais mais a représenté l'Autriche à la dernière de l'Eurovision. Bien évidemment, il a remporté la palme. C'était du tout cuit d'ailleurs. Unique en son genre parmi les compétiteurs, l'ambigu ne pouvait que l'emporter, il devait gagner et on peut penser que tout a été fait pour çà.
D'ailleurs, l'être n'a pas manqué de causer dans le poste après sa consécration pour réciter ses réactions "spontanées" à cette belle victoire "de la tolérance et du respect" qui ne peut être qu'un message fort au Président Poutine (rien que çà!) et à sa législation homophobe : " nous sommes l'unité et rien ne peut nous arrêter " a lancé la fausse femme à fausse barbe à l'intention de Vladimir qui, on s'en doute, n'a pu qu'être absolument terrifié!
Terrifié, il y aurait par contre de quoi l'être pour le citoyen d'une Union Européenne qui fait de l'a-normalité un art de vivre et un exemple. Triste Europe que celle où l'homofolie impose ses fausses certitudes à coup de messages propagandistes tous azimuts et où l'on envisage de pervertir la jeune génération par l'enseignement d'un ramassis de considérations pseudo scientifiques à connotations idéologiques au service du nouvel ordre mondial qui entend créer le consommateur idéal, indifférencié, sans racines, sans âme, unicolore et unisexe.
Si l'on en croit le message énamouré envoyé par la ministresse suédoise aux affaires européennes à la victorieuse grande "saucisse" de la chanson européenne, le "formidable vote" devrait inciter les citoyens de l'Union à utiliser "leur droit de vote pour une Europe ouverte" à l'occasion des prochaines élections européennes! Ce lamentable coup de propagande devrait plutôt inciter les européens à s'abstenir de participer à la mascarade européiste et à se rassembler derrière les étendards des résistances nationales et identitaires qui se lèvent ici et là.
17:44 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, union européenne, eurovision, homofolie, décadence, résistance
09 mai 2014
Impôts et taxes: on paye, "ils" touchent...humour grinçant de la semaine!
14:14 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, immigration, clandestin, fiscalisme, identité, résistance
08 mai 2014
8 mai 1945: le crime de guerre du futur maréchal Leclerc
La mort de douze hommes peut paraître anecdotique à côté des millions de victimes de la Deuxième guerre mondiale. Mais l’épisode de « Bad Reichenhall » dérange, car il porte une ombre sérieuse sur l’image du maréchal Leclerc, voire à sa légende dorée.
Début mai 1945, une douzaine de Waffen SS français ayant combattu contre le bolchevisme, rescapés de la Division Charlemagne, se rendent à l’armée américaine et sont internés dans une caserne de Bad Reichenhall (Haute Bavière).
Le 6 mai 1945, la 2ème DB de Leclerc occupe cette ville ; les SS français décident de s’évader par peur de représailles.
Ils sont finalement capturés dans un petit bois. Ils sont ensuite questionnés par le futur maréchal Leclerc. ( photo ) C’est le 8 mai, jour de la capitulation allemande.
Au cours d’une brève discussion, il reproche à l’un des Français de combattre sous uniforme allemand. Il se voit répondre que lui-même est sous uniforme étranger, américain en l’occurrence.
Leclerc, jugeant cette attitude par trop insolente, décide de les faire fusiller. Sans aucun jugement.
Après avoir chacun refusé d’avoir les yeux bandés, les jeunes Français s’écroulent par groupe de quatre, l’un après l’autre, sous des balles fratricides, en criant « vive la France ! »
Les corps sont laissés sur place conformément aux ordres. Ils seront finalement enterrés à cet endroit quelques jours plus tard, grâce aux pressions d’un aumônier français. Le 2 juin 1949, les corps sont transférés dans le cimetière communal de Sankt Zeno, à Bad Reichenhall.
Cet épisode tragique est parfois controversé, mais une solide enquête établit les faits : c’est le livre d’Eric Lefèvre et Olivier Pigoreau (disponible ici).
source: Contre-Info
15:19 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, histoire, prisonniers de guerre, crimes de guerre, maréchal leclerc, division charlemagne
Pierre Descaves : le décès d'un patriote!
Communiqué du Parti de la France :
Carl Lang et Le Parti de la France ont appris avec une grande tristesse le décès ce jour de Pierre DESCAVES.
Patriote farouche et sans concessions, homme de courage et d’engagements, Pierre DESCAVES faisait partie des membres fondateurs du Parti de la France après avoir été député national du Front National de 1986 à 1988 puis conseiller général de l’Oise et conseiller régional de Picardie.
Né en Algérie française et fier de ses racines, docteur en sciences économiques, licencié en droit, diplômé de l’Institut du droit des Affaires et expert-comptable, il combattit en 1944 et 1945 au sein de la première armée française libre.
Combattant pour la défense de l’Algérie française, il passa 6 ans dans la clandestinité après son évasion du camp de Saint Maurice l’Ardoise en février 1961. Auteur de plusieurs ouvrages de résistance nationale dénonçant la désintégration de la France, Pierre DESCAVES a été jusqu’à son dernier souffle un militant de la cause nationale et un combattant politique exemplaire.
Pierre était un grand patriote: nous sommes fiers d’avoir été de ses amis et transmettons nos condoléances attristées à sa famille et à ses proches.
La réaction de Roland Hélie, directeur de Synthèse Nationale
Je viens d'apprendre, par l'intermédiaire de Carl Lang, la disparition d'un grand patriote : Pierre Descaves.
Pierre fut de tous les combats du mouvement national. Le communiqué du Parti de la France ci-dessous résume parfaitement sa vie militante au service de l'idéal qui est le nôtre.
Nous nous sommes rencontrés pour la première fois, Pierre et moi, en 1980... dans un "panier à salade". Nous venions d'être arrêtés sur les Champs Elysées lors d'une manif, assez agitée, contre la FNACA, la courroie de transmission du PCF, qui prétendait commémorer le 19 mars 1962. Nous n'étions pas très nombreux et, mes camarades du PFN et moi (nous avions alors tous autour de 20 ans), nous avions vite remarqué cet homme distingué qui semblait aussi déterminé que nous. Nous ne le connaissions pas encore, mais nous savions déjà qu'il était notre camarade. Cette manifestation avait d'ailleurs eu un certain retentissement puisque le lendemain nous faisions la "une" de France Soir et de Libération. Depuis, pas une manif, pas un meeting sans que Pierre soit là et, bien souvent, nous nous retrouvions après dans un restaurant pour "refaire le monde".
Depuis la création de Synthèse nationale, en 2006, il n'a jamais manqué une de nos réunions et, à maintes reprises, il nous donna des articles pour la revue.
Lors de notre première rencontre, nous avions découvert un camarade... aujourd'hui, nous perdons un ami. Roland Hélie
15:05 Publié dans Mémoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, pdf, patriotisme, algérie française, fn, résistance