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28 mai 2014

François Hollande a voté à Tulle: un bulletin de vote à 22500€!

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Plus "normal" que jamais, Pépère a voulu faire peuple ce dernier dimanche pour aller voter à Tulle. Plus question d'utiliser le Falcon élyséen comme pour les municipales, ce qui aurait hissé la cote de son eurocratisant bulletin à 9200€. D'où un aller retour en voiture, histoire de montrer que le devoir civique vaut bien 10 heures de route et un arrêt pipi populaire. Le petit problème est que Franchounet n'est pas allé voter seul dans sa guimbarde perso et que la caravane présidentielle avec tous ses à côtés a coûté fort cher au contribuable. On parle de 22500€ comme prix de revient du bulletin de vote de Pépère...une estimation ad minima qui vole sur Internet à la vitesse d'un Falcon poussé au maximum et que l'Elysée a bien du mal a essayer de temporiser en tentant de faire croire que motocyclistes et engins volants n'étaient que des jeux d'ombre et de lumière dans le paysage autoroutier.

Bref Pépère s'est encore planté en voulant donner l'impression d'être proche du besogneux. Le besogneux dont il n'a pas le simple bon sens et qui lui ferait remarquer que tant qu'à voter pas cher, sans perdre trop de son temps qui devrait être précieux, il pouvait soit s'inscrire sur les listes électorales de son lieu de résidence parisien, soit voter par correspondance. Décidément Pépère loupe tout ce qu'il entreprend! Et c'est le contribuable qui raque!

27 mai 2014

Europe de Bruxelles: les Français doivent pouvoir choisir d'y reste ou non!

1159573_4_bb01_l-ex-secretaire-general-du-front-national-ca.jpgCommuniqué de presse de Carl Lang président du Parti de la France

Le fantôme du Non du peuple français au référendum de 2005 sur le projet de Constitution européenne vient de sortir de sa boîte. En mai 2005, 54,7 % des Français refusaient la ratification d’une Constitution européenne et pourtant cette Constitution transformée pour l’occasion en Traité européen de Lisbonne se trouvait validée par le Parlement réuni en Congrès. Près de dix ans plus tard, la politique du mépris des peuples menée par la caste de Bruxelles et par les partis euro-fédéralistes vient d’être lourdement sanctionnée lors du scrutin européen d’hier.
Les dirigeants et fonctionnaires de l’Union européenne et la classe politique des partis de gouvernement en Europe n’ont pas vu venir le vote de colère et de rejet qui s’est exprimé hier dans les urnes.
En France, le ras-le-bol cumulé des échecs lamentables de la gauche, des divisions et des affaires de l’UMP ajoutés à l’inefficacité ou à la nocivité des politiques européennes ont fini par provoquer un immense écœurement de l’opinion, puis le rejet et la colère.
Le vote de rejet de l’Europe de Bruxelles et de ses politiques ainsi que le vote de colère contre les partis de gouvernement viennent de s’exprimer clairement, d’une part avec une abstention massive de près de 57% et d’autre part avec un cumul des voix anti européennes à près de 30% des suffrages exprimés.
Et maintenant, après le rejet, quel projet ?
Les Français souhaitent-ils jeter le bébé de l’idée européenne avec l’eau du bain de cette Union européenne là ? Personne, parmi les partis médiatiquement autorisés n’a défendu durant cette campagne le projet d’une grande Europe européenne des patries, des nations souveraines et des peuples libres, fière de son héritage historique, de ses frontières, de ses valeurs de civilisation, de ses racines chrétiennes, d’une Europe indépendante refusant la soumission au nouvel ordre mondial et refusant la destruction de ses identités culturelles et historiques par la politique criminelle de colonisation migratoire et islamiste. Une Europe matérialiste et nihiliste, sans identité et sans âme n’a en effet pas plus d’avenir que les nations et les peuples qui n’ont plus eux même ni mémoire, ni identité, ni fierté. Ajouter le néant historique au néant des valeurs ne constituera jamais une force.
Si le choix ne se résume plus qu’à un non choix entre l’Europe de Bruxelles et l’Europe de Bruxelles, alors, après le désastre électoral de son camp, le Président de la République se doit d’interroger le peuple français par référendum sur la question de savoir si la France doit ou non rester membre de l’Union Européenne. Les partis politiques et les citoyens assumeront ainsi clairement leurs choix et leurs responsabilités.

24 mai 2014

Fête des Mères !

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15 mai 2014

25 mai: laissons pourrir l'eurocratie!

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13 mai 2014

Elections Européennes: je suis européen, je vote blanc!

2460125276.jpgUn communiqué d'Alsace d'Abord :

Pour qui faut-il voter le 25 mai prochain ? Il est terriblement difficile pour ceux qui, comme nous, rêvent d’une Europe unie et puissante, sûre d’elle-même, de son identité et de son avenir, de choisir pour qui voter.

Le mode de scrutin, le périmètre des circonscriptions, l’articulation avec la désignation du président de la Commission européenne, tout cela est d’une telle complexité que les citoyens vont une fois de plus s’éloigner des urnes. Le Traité de Lisbonne n’a pratiquement rien changé à l’opacité des mécanismes.

Les groupes politiques du Parlement européen ont proposé leurs candidats à la succession de Barroso à la présidence de la Commission de Bruxelles. Il est attristant de constater que les cinq candidats sont tous, sans exception, favorables à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenneJean-Claude Juncker, soutenu par l’UMP, Martin Schultz, candidat des socialistes, et Guy Verhofstadt, soutenu par l’UDI et le Modem, oeuvrent depuis des décennies au sein des institutions européennes en faveur de l’intégration de la Turquie. Nul ne pourra se déclarer surpris ou trompé. L’hypocrisie de l’UMP est à cet égard sans limite.

La question turque n’est certes pas la seule qui détermine l’avenir européen, mais elle est fondamentale car elle fonde la nature même de ce que sera l’Union demain. Le projet de traité de libre-échange transatlantique est un autre sujet d’inquiétude. Des négociations non transparentes se déroulent en ce moment au mépris des droits des citoyens et des élus, parce que les chefs d’État et de gouvernement européens en ont ainsi donné mandat à la Commission.

Les listes UMP, PS, centristes et écologistes auront en face d’elles les listes souverainistes du FN et de Debout la République qui prônent la sortie de la zone euro et de l’Union européenne.

Le choix qui s’offre aux partisans sincères de la construction européenne est dramatiquement étriqué : d’un côté, les nationalistes qui veulent revenir au franc et tourner le dos à l’Union ; de l’autre, les boutiquiers qui ne voient dans l’Europe qu’un grand marché et veulent l’étendre à la Turquie.

Parce que nous nous faisons de l’Europe une plus haute idée, parce que nous nourrissons pour notre continent de plus grandes ambitions, parce que les partis politiques nationaux français sont incapables d’offrir des perspectives nouvelles, nous choisissons de voter Blanc.