A la prochaine !

Entre 2002 et 2005, le "zissu" mauritano-sénégalais Lassana Coulibaly a violé neuf malheureuses françaises âgées de 19 à 57 ans, des faits en série d'une bestialité inouie,  accompagnés de tortures et d' actes de babarie dont les pauvres victimes garderont les séquelles psychologiques tout le reste de leur vie.

L' ignoble vient d' être jugé devant la cour d' assisses de Riom dans le Puy de Dôme : les tortures et actes de barbarie n' ayant étrangement pas été retenus,  il en a pris seulement pour 20 ans de réclusion criminelle, une condamnation assortie d' une peine de sûreté des deux tiers ! Pour peu qu' il se tienne peinard et fasse preuve d' une relative assiduité aux entretiens avec le psy de service, gràce aux remises de peine, il pourrait sortir au pire dans une dizaine d' années. Il aura alors 37 ans...et tout ce qu' il faut pour remettre çà ! Et qui sait, la prochaine fois il aura peut être droit aux félicitations du jury !

Décidément, on marche sur la tête !        Yves Darchicourt

 

 

 

On l' aurait parié !

Satisfactions associatives et émoi sirupeux claironnés dans les très émus médias : la  première décision judiciaire favorable en application du nouveau droit au logement opposable vient de tomber !

Gràce aux efforts conjugués et sélectifs de l' association "Droit Au Logement" et du Juge des Référés du Tribunal Administratif de Paris, c'est, fort symboliquement, Namizata Fofana qui décroche le pompon. Cette jeune mère célibataire au charme tropical, arrivée de Côte d' Ivoire en 2002, devrait damer le pion aux quelques 17000 familles parisiennes sans nouvelles depuis longtemps de leur demande de logement ou de relogement.

Qui oserait penser que cette " première " était dans son choix fort prévisible et qu' elle ne concernerait en aucun cas une si quelconque Marceline Glandu, heureuse titulaire d' un 4m2 en carton sous un pont de Paris...des mauvais esprits, des sans-coeur et des aigris sans doute!

Yves Darchicourt

 

 

Nature, je te hais !

Les enfants seraient-ils instinctivement homophobes? Sans doute, à en juger par les craintes de l' association "SOS-Homophobie" laquelle, bouleversée par cette constatation, entend bien faire reformater les jeunes esprits dès l' école ! Avant même de savoir correctement lire, écrire et compter, nos chères têtes blondes devront sans doute très prochainement subir un lavage de cerveau de plus et apprendre à connaître les joies cachées de la "sexualité plurielle", de façon livresque, du moins espérons le ! 

Sur l' intrusion programmée à l' école d' une "démarche permanente et quotidienne" de rééducation des enfants voulue par le monde associatif " lesb-gay-bi-trans ", on lira avec grand intérêt l' article de Caroline Parmentier dans Présent et repris dans Novopress. 

Yves Darchicourt      

 

  

Question de priorité

" Christian Donat était un détenu comme les autres..." a t-on pu lire ici et là à propos de l' arrêt de Tribunal Administratif de Rouen qui vient d' accorder 3000€ de dommages & intérêts pour " préjudice moral " à cet ancien taulard mécontent de ses conditions de détention. Et bien Donat était un détenu justement, c'est à dire un repris de justice, un condamné, pas un vacancier déçu par les prestations de son voyagiste. L' homme a tiré près de cinq ans à Bonne Nouvelle* et on admettra volontiers que n'est pas rien en ces temps de laxisme judiciaire. Les feuilles qui geignent sur son sort ne se hasardent d' ailleurs pas à nous préciser pourquoi il a plongé, ce qui est certain, c'est que personne ne l'a obligé à mériter un séjour en Maison d' Arrêt, sinon lui-même.

Le délicat aurait particulièrement souffert de la "promiscuité" : peut-être espérait-il un "single" douillet doté de tout le confort, une villégiature pénitentiaire en quelque sorte. Au premier mars, il y avait 62586 détenus en France dont 13300 en "surnombre"**, ce qui fait dire à certains qu' il y a trop de condamnés à des peines d' enfermement, quand il serait plus juste de dire qu' il n'y a pas assez de prisons.

En tout état de cause la peine doit par définition rester une peine, c'est à dire une mesure que l'on subit avec tous ses inconvénients et ses contraintes. Et puis, il est sans aucun doute beaucoup plus urgent et simplement plus décent de se pencher sur le sort des françaises et des français honnêtes, sans domicile fixe ( près de 100000 ) ou mal logés ( plus de 3 millions )*** qui espèrent un hâvre décent et à qui il doit arriver aussi de souffrir de la "promiscuité"  Alors les états d' âmes des taulards...décidément on marche sur la tête !      

Yves Darchicourt  

* maison d'arrêt de Rouen / ** source cnrs / *** en 2007

 

 

 

 

 

 

Trans-verts!

Toujours à la pointe du progrès les Verts! Les écolos innovent chaque jour que Dieu fait, ce qui n'est pas sans les entraîner dans des situations inextricables et les plonger dans des abîmes de réflexion du plus haut intérêt pour le populaire.

Ainsi, dans le souci d'une lutte constante contre les discriminations en tous genres, ils ont eu l' idée-phare de désigner tête de liste aux municipales parisiennes pour le très huppé XVIe arrondissement, un transexuel algérien, naturalisé français in extremis, mais revendiquant sa féminitude avec la dernière énergie! D' où l' affreux dilemme : en vertu de la parité, qui placer en seconde position, un homme ou une femme?

On imagine sans peine le bouillonnement intense dans les crânes écologistes! Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, Denis Baupin, candidat vert à la Mairie de Paris a bien dû se plier aux insensibles réalités administratives : " Pour nous c'est une femme, mais elle sera candidat homme " 

Quand on vous dit qu' on marche sur la tête!     Yves Darchicourt