17 juillet 2014
Une retheloise livrée aux robins de Cayenne : la dictature antiraciste franchit un nouveau cap!
Christiane Taubira s’est tue quand une Blanche a été violée et battue collectivement par plusieurs Afro-Maghrébins à Évry le 30 mars 2014, comme l’ensemble de la classe politique. Trois mois et demi après les faits, plus aucun médiat – pour ceux qui en avaient parlé – n’évoque ce crime.
Un silence qui tranche avec la surmédiatisation des persécutions contre l’ancienne tête de liste du Front national (FN) à Rethel Anne-Sophie Leclère qui, pourtant, n’avait que publié sur un compte Facebook peu fréquenté une image à caractère humoristique mettant en scène un singe et Christiane Taubira.
Cette dernière avait feint de ne pas se préoccuper de l’affaire : se plaçant dans une position victimaire chère à son peuple, elle affirmait ne pas « vouloir en faire un feuilleton ». Elle s’était pourtant servie de ce simple visuel pour créer de toutes pièces une affaire aux rebondissements très étudiés : ovation à l’Assemblée antinationale, tribune dans Libération et, bien entendu, une plainte ordonnée par la ministre de la Justice du gouvernement d’occupation via le mouvement antifrançais Walwari, fondé par Christiane Taubira et son ex-conjoint, dont l’une des cadres est Nolywé Delannon, fille de Christiane Taubira, une association qui était domiciliée à la permanence électorale de Christiane Taubira, pour défendre les intérêts de Christiane Taubira. La séparation des pouvoirs n’est pas le fort du Parti socialiste et de ses alliés. Un Français ne peut pas porter plainte contre un ministre par les voies ordinaires, mais un ministre le peut, avec l’ensemble des moyens du système, pour écraser un citoyen qui refuse l’invasion de sa terre, la destruction de la famille et la décadence de son pays dans une vendetta menée au nom de l’anti-France.
Cette bataille de l'offensive antiraciste s’est achevée hier à Cayenne. Alors que les prétendus faits avaient été commis en métropole, c’est dans le fief de Christiane Taubira, qui en revendique l’indépendance contre la France, que s’est déroulé le procès d’Anne-Sophie Leclère.
Elle a écopé mardi de neuf mois de prison ferme et 5 ans d’inéligibilité et 50 000 euros d’amende.
La violence de cette condamnation est extraordinaire, quand on se souvient qu’en janvier, le violeur d’une handicapée à Nice avait écopé de 6 mois de prison et que 5 hommes avaient été relaxés après le viol collectif d’une personne déficiente mentale à Chalais.
Concernant deux des plus importants corrompus de ces 20 dernières années, rappelons qu’Alain Juppé n’avait écopé que de 14 mois de prison avec sursis sans la moindre amende ; le concussionnaire juif Patrick Balkany n’avait écopé lui que de 15 mois de prison avec sursis et une faible amende, environ 40 000 euros actuels, au regard des sommes spoliées. Leur condamnation n’avait été accompagnée que de faibles peines d’inéligibilité : un et deux ans.
Dans cette affaire, le Front national a également été condamné à 30 000 euros d’amende.
Tout ce que la France compte d’ennemis s’est réjoui de cette scandaleuse décision.
« La condamnation de Mme Leclère à 9 mois de prison ferme – fait rare voire inédit –, […] vient rappeler que le racisme est profondément attentatoire au vivre-ensemble et que le laisser prospérer ou le tolérer dans la République ne saurait être admis »
lâche le groupuscule SOS Racisme qui n’a pas eu un mot pour la victime du viol raciste d’Évry. L’avocat juif de la LIC(R)A (Ligue internationale contre (le racisme et) l’antisémitisme) a justifié cette condamnation tout en pointant son caractère politique et antifrançais :
« Les juges de Cayenne on voulu envoyer un message, un coup de tonnerre, un coup de semonce en disant “ça suffit”. La justice est là pour cela, pour dire, pour envoyer un message à l’ensemble de nos concitoyens [sic] : on ne peut pas tout faire dans ce pays et le racisme et l’antisémitisme sont des délits et des délits à part entière qui doivent être condamnés sévèrement quand un trouble à l’ordre social est important. Alors évidemment il y a peut-être un particularisme local à Cayenne. Il est évident qu’à Cayenne on a voulu envoyer un message à la métropole, c’est évident. Ces magistrats sont des magistrats républicains ».
a-t-il déclaré, tout en prenant la défense du FN : « La condamnation prononcée à l’égard du Front national me paraît juridiquement discutable »
Mercredi, l’ancienne candidate du Front national a fait appel de ce jugement inique. SOURCE
11:36 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, repression, dictature, pensée unique, résistance
11 juin 2014
Deborah de Robertis: un autre exemple vivant de la décadence culturelle de l'Europe!
Elle s'appelle ou se fait appeler Deborah de Robertis, elle serait luxembourgeoise et se prétend artiste. Connue? Guère, sinon dans un cercle de perturbés du ciboulot dont les "créations" illustrent parfaitement l'état de décadence culturelle ou s'enfonce l'Europe. Un petit monde de détraqués, de siphonnés ou d'escrocs qui sont prêts à n'importe quoi, n'importe quand et n'importe où pour avoir droit à une éphémère mais lumineuse gloire médiatique annonciatrice peut-être du geste d'un amateur éclairé ou de la subvention attribuée aux "artistes" d'avant-garde avec l'argent des contribuables.
Et la compétition est rude en ces temps de crise, il faut donner carrément dans l'hystérie créatrice pour faire parler de soi et espérer un peu des picaillons jetés aux cultureux. Du coup Deborah n'y est pas allée par quatre chemin: le 29 mai dernier, elle a foncé droit au musée d'Orsay où dans la salle 20, assise robe relevée et jambes ouvertes sous le tableau de Gustave Courbet (L'Origine du Monde 1866) représentant un sexe féminin en gros plan, elle a largement dévoilé le sien dans l'ambiance musicale de l'Ave Maria de Schubert sur laquelle elle avait ajouté ces paroles sublimes : " Je suis l'origine, Je suis toutes les femmes, Tu ne m'as pas vue, Je veux que tu me reconnaisses, Vierge comme l'eau créatrice du sperme".
La pauvre bête a bien évidemment été relevée, reloquée, expulsée du musée et conduite au poste de police le plus proche. Elle en ressortira d'ailleurs trop vite pour son goût, sans même avoir bénéficié de la douche froide si utile pourtant dans les cas comme le sien. On passera sur les explications fumeuses étalées par "l'artiste" dans les médias fort gourmands de ce genre de prestations pour le moins douteuses: notons quand même que la dame se dit très "pudique" même si elle a tourné à poil dans des "vidéos"...artistiques évidemment. Le Procureur a décidé de classer sans suite ce qui ressort plus de la psychiatrie que des tribunaux. Mais le but est atteint: Deborah a fait parler d'elle! Elle est sortie un temps de l'anonymat où son génie créateur végétait et où elle retombera rapidement. Du moins il faut l'espérer!
15:12 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, france, culture, artistes, exhibitionnisme, décadence
10 juin 2014
Le mot "fournée" est-il antisémite ?
En cherchant bien le Système peut trouver de l'antisémitisme partout ou presque! Plus qu'un long discours, un petit dessin..
16:04 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, liberté, lobbies, antisémitisme, pensée unique, humour
06 juin 2014
Immigration de peuplement et islamisation: la preuve par Dijon et ses mères de familles nombreuses
Quel beau samedi que ce 31 mai 2014 en la cité des ducs de Bourgogne! La municipalité socialiste avait organisé un petit raout en l'honneur de 21 mères du département de la Côte d'Or ayant élevé dignement de nombreux enfants et méritant ainsi de recevoir la médaille de la famille française (créée en 1920 pour stimuler le repeuplement de la France saignée à blanc pendant la première guerre mondiale), un petit bouquet de fleurs, un diplôme et 700€.
Les récipiendaires étaient 21 : 8 médaillées d'argent ( 6 ou 7 enfants ) et 13 décorées de bronze (4 ou 5 enfants). Ce qui représente un nombre certain de ce qu'on n'osera pas appeler symboliquement comme de coutume des charmantes "têtes blondes" si l'on en juge par les patronymes des heureuses élues dont l'immense majorité fleure bon les parfums des mille et une nuits:
l'argent pour Fatiha Benhalima, Fouzia Amezane, Fatima Boularess, Aïcha Hadj-Abderrahmane, Mama Lefdou, Fatima Loubbi, Rosaria Rutigliano, Aïcha Tasry;
le bronze pour Saadia Ayar née Ayar, Saadia Ayar née Jabir, Medhia Bargaoui, Fatima Batta, Diane Brenot, Saâdia Brouzi, Fatima Et-Tellah, Nacéra Farsi, Fatima Haddache, Nathalie Lerbet, Zineb Oussghir, Stella-Cora Robert, Latifa Sabik.
Si "le Bien Public", la feuille de la municipalité de la Ville aux Cents Clochers, s'attendrit sur le rôle irremplaçable que joue la cellule familiale dans la structuration sociale et personnelle des enfants - ce qui est pour le moins hypocrite pour des élus socialistes dont on sait bien que leurs maîtres en politique sont des contempteurs de la famille naturelle et traditionnelle et des promoteurs de la perversion des écoliers par l'enseignement de la théorie du genre - le site L'Islam en France s'appesantit sur la délivrance de médailles de la famille française à des musulmanes.
Et c'est la leçon qu'il faut tirer de l'évènement qui illustre parfaitement ce que l'on appelle une immigration de peuplement dont le corollaire obligé est l'islamisation de notre pays. C'est bien le président algérien Houari Boumedienne qui, à l'ONU en 1974, a dit "nous conquérons l'Europe avec le ventre de nos femmes"..c'est plus qu'en bonne voie!
Rassemblement Résistance Reconquête! Vite!
17:01 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, immigration, islamisation, identité, colonisation, résistance
28 mai 2014
François Hollande a voté à Tulle: un bulletin de vote à 22500€!
Plus "normal" que jamais, Pépère a voulu faire peuple ce dernier dimanche pour aller voter à Tulle. Plus question d'utiliser le Falcon élyséen comme pour les municipales, ce qui aurait hissé la cote de son eurocratisant bulletin à 9200€. D'où un aller retour en voiture, histoire de montrer que le devoir civique vaut bien 10 heures de route et un arrêt pipi populaire. Le petit problème est que Franchounet n'est pas allé voter seul dans sa guimbarde perso et que la caravane présidentielle avec tous ses à côtés a coûté fort cher au contribuable. On parle de 22500€ comme prix de revient du bulletin de vote de Pépère...une estimation ad minima qui vole sur Internet à la vitesse d'un Falcon poussé au maximum et que l'Elysée a bien du mal a essayer de temporiser en tentant de faire croire que motocyclistes et engins volants n'étaient que des jeux d'ombre et de lumière dans le paysage autoroutier.
Bref Pépère s'est encore planté en voulant donner l'impression d'être proche du besogneux. Le besogneux dont il n'a pas le simple bon sens et qui lui ferait remarquer que tant qu'à voter pas cher, sans perdre trop de son temps qui devrait être précieux, il pouvait soit s'inscrire sur les listes électorales de son lieu de résidence parisien, soit voter par correspondance. Décidément Pépère loupe tout ce qu'il entreprend! Et c'est le contribuable qui raque!
11:19 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, élections européennes, françois hollande, impôts, gabegie, privilèges, incompétence