Centrafrique: le soldat et le cafteur !

Un soldat français envoyé en Centrafrique par Pépère pour y faire régner calme et sécurité et qui -horresco referens- arbore un écusson portant "Mon Honneur s'appelle Fidélité" qui plus est en teuton : çà c'est de l'information et de la vraie, du pointu dans le reportage de guerre, le sublime d'un cador du cliché, le grandiose d'une épée de la toff ! Un modèle du genre pour l'ambitieux du Pulitzer qui va faire frémir dans les raouts boboesques bien plus sûrement que la banalité des obsèques des deux camarades du militaire profanateur de mémoriel.

Il se trouvera certainement des indignes pour dire que plus que l'historique de la chose c'est la notion même de fidélité dans l'honneur et même le sens de l'honneur tout court qui a défrisé le planqué du téléobjectif et que décidément le personnage de "grand reporter photographe" qui risque sa peau pour informer le citoyen tient désormais du mythe. Le buriné du pris sur le vif, l'aventurier du sensationnel cède la place au paparazzi du cloaque, au chafouin de l'émotion à géométrie variable ou au cafteur de bas étage, bref au fouille merde!

Procès Burgaud/Tavernier: la petite phrase qui fâche!

Bouc émissaire pour les uns, incompétent crasse pour d'autres, Patrice Burgaud restera dans les annales comme le juge d'instruction du "ratage" de l'affaire d'Outreau qui lui a valu d'être légèrement "réprimandé" par ses pairs et confortablement recasé comme auditeur à la Cour de Cassation.

Cette navrante péripétie judiciaire vient de revenir à la "une" des médias avec le procès intenté par le dit robin à Bertrand Tavernier à propos de son film "Présumé Coupable" -inspiré de l'auto biographie de l'une des "victime" de Burgaud-  au sujet duquel il avait déclaré télé visuellement " Quand vous voyez le film, je ne suis pas pour la peine de mort, mais c’est quelqu’un que vous avez envie d’exécuter, le juge d’Outreau»

C'est pour cette petite phrase que le cinéaste a été assigné devant la 12e chambre correctionnelle de Paris et non la 17e spécialisée pourtant dans les affaires touchant à la liberté d'expression. Le procureur de service, sans doute ému par les lamentations de Burgaud qui vivoterait depuis dans l'angoisse comme si l'on avait lancé une fatwa ou un contrat sur sa tête, vient dernièrement de requérir la condamnation de Tavernier à 3000€ d'amende.

Il est vrai que les intouchables robins sont de grands sensibles, même si parfois cette sensibilité est inversement proportionnelle à leur compétence ou à leur degré d'impartialité. Et tous les mots sont susceptibles de les "outrager" même s'ils n'atteignent pas la hargne de ceux de ce célèbre bout-rimé "Qu'il serait beau de les voir mourir de mort lente/Et de voir, pour dix sous, dix peaux de juge en vente "...il est vrai envoyé à la veille de son exécution par le "bon docteur" Marcel Petiot qui avait quelque raison d'en vouloir cruellement à ses juges!

 

CBN: petite leçon de déontologie aux médias français!

Manifestation patriotique contre l'islamisation de la France du 13 novembre dernier: il n'y a guère eu que la chaîne CBN pour y avoir consacré un reportage. Le média américain insiste sur l'auto-censure des médias français, des médias présentés comme aux ordres du politiquement correct et qui ont ignoré un évènement annonciateur pourtant de la naissance d'un profond mouvement de résistance à l'Islam dans notre pays. Une petite leçon de déontologie aux médias français.

"Reporters" : l'odieux visuel dans toute sa splendeur !

Nos camarades et amis wallons du mouvement identitaire et solidariste "Nation" ont tenu à réagir à la suite de la diffusion sur RTL-TVI d'un "reportage" sur la "montée de l'extrême droite radicale en Europe" qui, comme il fallait s'y attendre de la part de besogneux médiacrates aux ordres du nouvel ordre mondial, n'a été que désinformation et bourrage de crâne. L'odieux visuel dans toute sa splendeur !

Communiqué du Mouvement Nation : Suite à l’émission « Reporters » diffusée le 22 novembre dernier sur RTL-TVI, le mouvement NATION tient à préciser les choses suivantes :

• NATION n’a AUCUN lien avec le groupe hongrois montré en parallèle dans le reportage. Groupe qui tient manifestement du folklore, de la psychiatrie ou de la provocation. Et peut être même des 3 en même temps.
• NATION n’a AUCUN lien avec l’English Defense League (EDL) qui est montrée également en parallèle dans le reportage. Rappelons aussi que depuis ce reportage, le leader de ce groupe s’est soudainement déclaré «anti-raciste». Il était plus probablement un agent provocateur à la solde du gouvernement.
• Les poursuites judiciaires et les activités reprochées à notre secrétaire politique Hervé Van Laethem, datent de près de 25 ans (!) et impliquaient une toute autre organisation que NATION. Et ceci dans un contexte où l’extrême-gauche recherchait sans cesse la confrontation violente. Hervé Van Laethem a toujours assumé ces faits sans complexe puisque ils sont survenus dans un cadre militant. Quand à son engagement de l’époque, il s’en expliquera dès que les politiciens traditionnels, anciens des milieux staliniens, trotskistes ou anarchistes, s’expliqueront eux-mêmes sur leurs engagements passés.

NATION a noté la peine évidente du présentateur du reportage qui semblait bien triste que l’on ne puisse interdire des mouvement politiques en Belgique… au nom de la démocratie bien sûr !

Quoi qu’il en soit, l’important est que les téléspectateurs aient pu voir l’image de ce qu’est NATION : le parti des petits Belges qui ne baissent pas les yeux.

Affaire Abdelhakim Dekhar : une consternation médiatique jubilatoire!

Il est des moments savoureux! Et il en est ainsi de façon récurrente depuis deux jours, depuis que le fameux "tireur fou" a été identifié et que les médias ont bien été obligés de continuer à parler de lui. D'où une dégringolade fort réjouissante de tronches en coin de rue, de propos aigrelets arrachés à des gorges serrées, de papiers cachant mal un dépit profond.

C'est qu'il faut s'imaginer la douche froide. Un salopard de type européen qui a tiraillé à la Défense et pris un automobiliste en otage mais qui surtout a commis l'innommable en s'en prenant à ce pilier de la démocratie qu'est Libération ne pouvait être qu'un surgeon de l'extrême droite, un facho, un raciste, un antisémite, un homophobe. Tout était prêt sans doute pour la grande offensive politico-médiatique contre la bête immonde: gros titres, communiqués indignés, déclarations grandiloquentes et commentaires incontournables de Léonarda. Et puis plouf et patatras ! C'est la catastrophe, c'est l'Azincourt des fouilles merde, le Waterloo des loges, le Juin 40 des ligues ripoublicaines...le flingueur se nomme Abelhakim Dekhar, on le dit quand même "mosellan" mais il n'est visiblement pas originaire d'une vieille famille lorraine et comble de l'horreur, il a déjà été impliqué et condamné comme complice dans un carnage organisé par des militants de la gauche extrême !

De quoi réduite à néant les bienfaits politiquement corrects attendus de l'exemplaire victoire chèrement (?) acquise par la France footballistique et plurielle grâce à nos si sympathiques mercenaires exotiques du ballon rond. D'où la consternation de la médiacratie et l'intense jubilation qu'il y a à s'en repaître.