Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29 mai 2008

Où l' on reparle de Fadela !

1316110609.jpgInvitée par l' Association des Maires de Grandes Villes de France le 20 mai dernier, Fadela Amara, notre franco-algérienne secrétaire d' état à la budgétivore "politique de la ville" en a profité pour révéler élégamment que si on n' entend pas beaucoup parler d' elle c'est qu' elle "taffe" en silence !

A preuve sa toute dernière trouvaille : une prime annuelle pouvant atteindre 10.000€ pour les fonctionnaires qui accepteraient un poste dans un des 646 "quartiers difficiles" qui font la fierté de nos belles cités.. une prime dite de "mobilité" que de mauvais esprits auront tôt fait de qualifier de prime de risque ! 

La France sarközienne, plurielle et tranquille on vous dit!         Yves Darchicourt

 

 

555 ans d' espoir !

2034520831.2.jpgIl est une légende qui veut que l' empereur Constantin XI Paléologue "Dragasès" ne soit pas mort lors des derniers farouches combats sur les remparts de Constantinople au matin du 29 mai 1453 quand la ville fut prise par les turcs parce qu' abandonnée à son sort par l' Occident. Certes, le courageux Basileus s' est défait de ses insignes impériaux et s' est jeté dans la mêlée avec ses fidèles mais, alors qu' il était sur le point de succomber sous les coups des janissaires, il aurait été enlevé par des anges et transporté jusqu' à une caverne jouxtant la Khrysoporta, la Porte d' Or, pour y être transformé en statue de marbre. Dès lors, l' empereur pétrifié attend d' être réveillé miraculeusement, pour à nouveau lever ses armées, retourner au combat, chasser les turcs de Constantinople et les poursuivre jusqu' aux confins de Kokkini Milia, le Pommier Rouge, en Asie Centrale, leur territoire mythique d' origine et d' où ils sont sortis pour le plus grand malheur de la Chrétienté. 

C' est là une des belles légendes qui furent si nécessaires à tous ces Peuples d' Europe martyrisés pendant des siècles par les Ottomans. Une légende d 'espoir qu' il n'est pas de nos jours inutile d' évoquer encore. Et si...après tout, il suffit peut-être d' y croire !

Yves Darchicourt

  

28 mai 2008

Assises des Ardennes : une grande absente !

1810337559.jpg

27 mai 2008

Lâché !

1938325993.jpg Il est un article 174 du décret organique du 20 mai 1903 repris en intégralité dans l' article L du Code de la Défense qui précise les conditions dans lesquelles les gendarmes sont autorisés à faire usage de leurs armes :

" lorsqu'ils ne peuvent défendre autrement le terrain qu'ils occupent, les postes ou les personnes qui leurs sont confiés ou enfin si la résistance est telle qu'elle ne puisse être vaincue que par la force des armes ou lorsque les personnes invitées à s' arrêter par des appels répétés de "halte gendarmerie" faits à haute voix cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations et ne peuvent être contraints à s' arrêter que par l' usage des armes "  ( art. 2 333-3 ) 

Il est idem un article 280 qui ajoute " dans le cas où il y a rebellion de la part de prisonniers ou tentative d' évasion, le commandant de l' escorte, dont les armes doivent toujours être chargées, leur enjoint de remettre dans l' ordre par ces mots "halte ou je fais feu"; si cette injonction n'est pas écoutée, la force des armes est déployée dans l'instant même pour contenir fuyards ou révoltés "  

Le sous-officier de gendarmerie de Draguignan qui, après sommations et tirs d' intimidation, a abattu un gardé à vue qui s' évadait n' a donc fait qu' appliquer le règlement et agir de façon légitime, d' autant que l' homme, mis en cause dans une affaire de vol avec violences et séquestration, était donc réputé dangereux et se dirigeait vers un secteur où se trouvaient des enfants.

L' affaire est donc claire et nette. Enfin elle devrait l' être, sauf que l' individu mortellement touché appartient à une communauté nomade qui s' est empressée de manifester violemment et de susciter des troubles lesquels ont servi de prétexte pour que le militaire soit mis en examen et incarcéré. Un militaire "ignoré" par son ministre de tutelle, Hervé Morin, et indignement "lâché" par sa ministre de tutelle par anticipation, Michèle Alliot-Marie, promte à jouer l' effarouchée. Un militaire que des politicards et des agitateurs veulent sacrifier sur l' autel du politiquement correct.

Les gendarmes de France, et d' une façon générale tous les membres des forces de l' ordre, sauront s' en souvenir le moment venu.     

 Marie-Paule Darchicourt   

 

  

25 mai 2008

Merci aux mamans !

455864012.jpg
Un grand merci pour avoir voulu donner la vie !  Bonne fête à toutes les mamans de France !